et oui nous voila en pèriode de Noël
tous le monde s'affolle ...les cadeaux ...le foie gras ....le champagne ....et personne n'est content personne n'est heureux...
tous le monde court apres le bonheur...
et nos enfants du bout du monde ....après quoi court ils????qu'aurons t'ils????? en attendant le grand jour...le grand dèpart vers leur nouvelle vie avec un papa et une maman enfin....qui ne les abandonnerras plus jamais
après le grand jour
pendant une certaine periode que l'on dis adaptation ils devront affronter leur nouvel espace leur nouvel environnement
et seul dieu sait que cela est tres difficile pour tous le monde
car ce que l'on croit ...oh je vais l'habiller en petite robe chanel ou je ne sais quoi ...
tous cela est fais pour nous pour nos yeux si fier à nous ...mais notre enfant ne demande pas tous cela
donnons a notre enfant la possibilite de rester enfant
repartons a zero et je penses qu'il faudra lui laisser le temps de refaire ensemble ses premiers pas ...d' oublier... son vecu car NOËL pour là bas...ça represente quoi????
en cette veillèe de Noël
ayons une petite pensee a tous ces enfants enfermes là bas avec une certaine discipline de vie qui n'est certainement pas comme la notre et loin de l'etre
JOYEUX NOËL A TOUS
Un bonheur familial envolé avec le décès d'un père, une adoption, une injustice dans l'éducation de 2 soeurs, l'hypocrisie... Cessons de tout mettre sur le compte de l'adoption !
24/12/2008
28/11/2008
27/11/2008
En berne...
21/11/2008
Oui, ces temps-ci il y a du vague à l'âme...
19/11/2008
Vers une double nationalité ?
_____ Yes (If you check “Yes,” please go to #1-1)
_____ No (If you check “No,” please go to #1-3)
1-1) Did you declare to retain your Korean nationality under the NRS?
_____ Yes (Please go to #2 )
_____ No (If you check “No,” please go to #1-2)
1-2) What is the main reason for your not declaring your wish to maintain your Korean nationality under the NRS? (Please check only one choice)
_____ ① Even though my adoptive parents knew about the system, they didn't know the exact process.
_____ ② My adoptive parents didn't want me to maintain my Korean nationality.
_____ ③ I am not sure.
_____ ④ Other. Please specify ________________________________________________________.
(Please go to #2)
1-3) What would you have done if you had known about the NRS and could have declared to maintain your Korean citizenship by yourself? (Please check only one choice)
_____ ① I would have declared the NRS and maintained my Korean nationality.
_____ ② I would not have declared the NRS even if I had known about the system.
_____ ③ I am not sure.
_____ ④ Other. Please specify ________________________________________________________.
2) What do you think about abolishing the NRS and allowing adoptees to possess Korean nationality until the age of 22 even if s/he didn't declare to do so under the NRS?
_____ ① I agree.
_____② I disagree.
_____ ③ I am not sure.
3) What do you think about allowing a person who possesses dual nationality because s/he was born in a foreign country to Korean nationals or adopted overseas to maintain dual nationality?
_____ ① I don't think s/he should maintain dual nationality.
_____ ② I think it can be allowed when certain conditions (e.g. military service) are met. (If you are male and check ②, go to #3-1)
(If you are female and check ②, go to #3-2)
_____ ③ It should be unconditionally allowable.
(If you check ① or ③ above, go to #4)
3-1) If the law is amended to allow adoptees to possess Korean nationality on the condition of fulfilling Korean military service, would you willfully enlist in the Korean military?
_____ ① Yes, I would.
_____ ② Even if the law were changed, I would not enlist in military service.
_____ ③ If other conditions were required rather than military service, I would fulfill this obligatory service.
_____ ④ I am not sure.
(Please go to #4)
3-2) If the law is amended to allow adoptees to possess Korean nationality on the condition of fulfilling mandatory community (social) service (1~2 years) in Korea, would you willfully fulfill this obligatory participation?
_____ ① Yes, I would.
_____ ② I would consider it and decide depending upon the length of time and type of service(s).
_____ ③ I would not.
_____ ④ I am not sure.
4) What is the main reason why you want to possess Korean nationality? (Please check only one choice)
_____ ① I want to keep my identity as a Korean.
_____ ② I would like to have the choice at any time to be able to return to the country where I was born, to live.
_____ ③ Having Korean nationality is more advantageous to find work or pursue a career in Korea.
_____ ④ Other, please specify ___________________________________________________________.
Je me renseigne ...
Principe
Toute personne peut demander à changer de nom, lorsqu'elle a un intérêt légitime à le faire, à savoir en cas de :
nom difficile à porter en raison de sa consonance ridicule ou péjorative,
nom à consonance étrangère,
survivance d'un nom illustré de manière éclatante sur le plan national,
nom éteint ou menacé d'extinction,
consécration d'un usage constant et continu sous certaines conditions.
Demandeur
Tout ressortissant français majeur peut en faire la demande.
L'épouse, bien qu'elle bénéficie aussi de l'usage du nouveau nom, n'a pas à faire de demande personnelle.
Le changement de nom s'étend aux enfants du bénéficiaire lorsqu'ils ont moins de 13 ans.
La mère des enfants qui exerce conjointement l'autorité parentale doit donner son accord pour le changement de nom des enfants mineurs. A défaut, l'autorisation du juge des tutelles est nécessaire.
Le consentement personnel des mineurs de plus de 13 ans est nécessaire.
Formalités
Démarches
L'intéressé doit :
publier la modification de nom envisagée au Journal officiel et dans un journal d'annonces légales,
envoyer une demande de changement de nom au Garde des Sceaux, ministre de la Justice ou au procureur de la République du tribunal de grande instance du domicile.
Publicité dans un journal d'annonces légales
La modification de nom doit être publiée :
au Journal officiel,
et dans un journal d'annonces légales du lieu de son domicile.
Requête auprès du Garde des Sceaux
Un dossier de demande de changement de nom est à adresser au Garde des Sceaux, ministre de la Justice ou au procureur de la République du tribunal de grande instance du domicile.
Pièces à fournir :
un exemplaire de chacun des journaux dans lesquels l'(les) annonce(s) légale(s) a (ont)été publiée(s),
la copie intégrale de l'acte de naissance de chaque intéressé majeur ou mineur,
la copie d'une pièce prouvant la nationalité française,
le consentement personnel écrit pour les mineurs de plus de 13 ans,
le bulletin numéro 3 du casier judiciaire pour les personnes majeures,
une requête personnelle sur papier libre, adressée au Garde des Sceaux. Elle doit être signée et comprendre les raisons de l'abandon du nom d'origine et les raisons du choix du nom demandé. Tout document établissant le bien fondé de cette demande doit être joint pour l'appuyer,
le consentement de l'autre parent en cas d'exercice conjoint de l'autorité parentale ou, à défaut et dans les autres cas, l'autorisation du juge des tutelles.
A noter : si la demande est faite au nom d'enfants mineurs, il nécessaire de le mentionner et d'indiquer leur date de naissance. Si plusieurs personnes majeures sollicitent le même nom, chacune d'elles doit souscrire une demande séparée.
Coût
Le coût de publication de l'annonce au Journal officiel et dans un journal local dépend d'un certain nombre de critères dont notamment le lieu de résidence, l'âge, le nombre de personne(s) par famille qui sollicite(nt) le changement de nom.
Les droits de publication au Journal officiel et dans un journal local sont à la charge du demandeur.
Procédure
Instruction de la demande par le Garde des Sceaux
Un décret, signé par le Premier ministre et le Garde des Sceaux, portant changement de nom, est publié au Journal officiel, si la demande est accordée.
Un exemplaire du décret est remis au demandeur.
Si la demande de changement de nom est refusée, le refus doit être motivé et notifié à l'intéressé.
Opposition au changement de nom
Avant la publication du décret, il est possible de s'opposer à la demande de changement de nom, en donnant des raisons précises, par simple lettre au Garde des Sceaux, direction des affaires civiles et du sceau.
A partir de la publication au Journal officiel, des tierces personnes peuvent, pendant deux mois, s'opposer au changement de nom envisagé, en engageant une procédure devant le Conseil d'Etat.
Si aucune opposition n'est émise pendant deux mois ou si le Conseil d'Etat les a rejetées, il pourra être demandé au secrétariat de la section du contentieux du Conseil d'Etat, selon le cas, un certificat de non-opposition ou une copie de la décision rejetant l'opposition.
Si le décret est annulé par le Conseil d'Etat, il ne peut être envisagé de renouveler la même demande de changement de nom, sauf en cas d'éléments nouveaux tout à fait exceptionnels.
Rectification de l'état civil
S'adresser au procureur de la République du domicile ou du lieu de naissance et demander la rectification des actes d'état civil.
Pièces à fournir :
la photocopie du certificat de non-opposition ou une copie de la décision rejetant l'opposition,
un exemplaire de chacun des actes d'état-civil à rectifier,
l'acte de naissance du conjoint,
l'acte de mariage,
l'acte de naissance des enfants, s'il y a lieu.
Pour plus d'information, les services à contacter :
Ministère de la justice
Direction des affaires civiles et du Sceau
13, place Vendôme
75042 Paris cedex 01
Téléphone : 01 44 77 60 60
http://www.justice.gouv.fr/
Service-public.fr, adresses nationales
Conseil d'Etat
1, place du Palais-Royal
75100 Paris cedex 01
Téléphone : 01 40 20 80 80
01 40 20 80 50 (bureau de l'information publique)
01 40 20 81 00 (greffe)
http://www.conseil-etat.fr/
Service-public.fr, adresses nationales
Direction des journaux officiels
26, rue Desaix
75727 Paris cedex 15
Téléphone : 01 40 58 75 00
http://www.journal-officiel.gouv.fr/
Service-public.fr, adresses nationales
Vos enfants ne sont pas vos enfants :Ils sont les fils et les fillesde l'appel de la vie à elle-même ;Ils viennent à travers vous, mais non de vous.Et bien qu'ils soient avec vous,ils ne vous appartiennent pas.Vous pouvez leur donner votre amour,mais non point vos pensées.Car ils ont leurs propres pensées.Vous pouvez tenter d'être comme eux,mais ne tentez pas de les faire comme vous.Car la vie ne va pas en arrière,ni ne s'attarde avec hier.Vous êtes les arcs, par qui vos enfants,comme des flèches vivantes, sont projetés.L'arbre voit le but sur le chemin de l'infini,et il vous tend de sa puissance,pour que ses flèches puissent voler vite et loin.
18/11/2008
05/11/2008
31/10/2008
Monsieur,
Suite à notre entrevue du 21 octobre dernier dans vos locaux de Paris 20ème, vous voudrez bien trouver, en pièce jointe, la copie des Taxes Foncières 2008, un des éléments justificatifs que le lot est bien du ressort d'une indivision. J'ai eu un mail du 22 octobre de Maître SA, Notaire, qui m'a confirmé qu'il faisait le nécessaire afin de vous faire parvenir une attestation.
Dès régularisation, je vous serais gré de me confirmer la rectification du compte copropriétaire - de BP à Indivision P - et me communiquer copie des comptes 2001 à ce jour ainsi que copie des procès-verbaux d'AG par mail. A ce jour, aucun mandataire n'a été nommé pour représenter l'indivision. Je ne manquerai naturellement pas de vous tenir informé dès que cela sera effectué afin que vous puissiez avoir un interlocuteur. Le bien, à priori, ne serait plus occupé par BP.
Pouvez-vous me communiquer les coordonnées de la personnne chargée des transactions ? J'espère d'ici là pouvoir récupérer un jeu de clés.
Vous en remerciant dès maintenant,
Je vous prie de croire, Monsieur, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP
Ce mail a été adressé en copie à Maître GB ainsi qu'aux 2 adresses mails de B.
23/10/2008
Maître,
J'ai tenté de vous joindre téléphoniquement, le 21 octobre courant, avant le rendez-vous avec le syndic et ai laissé un message à votre collaboratrice.
Votre cliente, Mademoiselle BP, s'est, à priori, engagée par votre intermédiaire à y mettre de la bonne volonté. A ce jour et ce, depuis votre premier mail du 5 juin 2008, je ne constate aucun avancement si ce n'est que l'attitude de votre cliente me paralyse complètement. Comment doit-on remédier pour une solution amiable à moins que votre cliente ne le souhaite plus ?
Le 21 octobre, comme je vous l'ai précisé par mon mail du 15 courant à vous et à votre cliente, j'ai rencontré le nouveau syndic de l'immeuble. J'ai lancé la régularisation des arriérés de votre cliente et non de l'indivision car les retenues sur indemnités d'occupation couvrent en théorie les 50% de charges totales et non, 50% des charges non récupérables. Je ne suis pas en possession de documents car le Syndic attend l'attestation du notaire pour me les communiquer. J'ai encore tenté de joindre téléphoniquement votre cliente qui a fait le choix de la politique d'autruche en ne répondant pas à mes messsages tant téléphoniques qu'électroniques.
J'ai et je subis trop de calomnies gratuites et infondées de Mademoiselle BP. Cependant je suis toujours disposée à régulariser la situation à l'amiable mais je demande enfin clarté et hônneteté de sa part avec remise d'un jeu de clés en urgence pour les motifs invoqués lors de mes précédents mails, décompte précis des deux parties (charges). Dans le cas contraire et ce, afin de préserver enfin mes intérêts, je prendrai toutes les dispositions pour réclamer devant le Tribunal compétent, mes droits d'indivisaire, indemnités d'occupation impayées, dommages et intérêts, régularisation des charges, remboursement des frais de procédure... Avec mon état de santé - que vous n'ignorez plus maintenant - et ma jeune entreprise, les agissements de votre cliente me portent préjudice pour me reposer côté santé et travailler pour viabiliser mon jeune entreprise. Aussi j'ai effectivement d'autres préoccupations que de réclamer mes droits d'indivisaire non occupante, de consacrer - énergie et temps - à téléphoner, à rencontrer le syndic, à relancer votre cliente directement ou par votre intermédiaire, à "enquêter" pour récupérer les informations et éléments...
Votre cliente n'a jamais fait preuve de générosité envers moi et là-dessus, je ne lui demande rien. Cependant elle fait totalement abstraction de mes droits d'indivisaire m'incombant que des devoirs, allant porter des accusations totalement infondées. Depuis sa proposition de rachat de ma part, par courrier recommandé avec AR en date du 4 juillet 2003, je ne m'y suis jamais opposé mais j'ai émis les mêmes conditions actuelles, à priori, irréalisables pour elle. Si l'affaire traîne, ce n'est, une nouvelle fois, pas de mon ressort... Son prix proposé de ma demi-part était de 25 000 € pour une évaluation "officielle" du lot mandatée par elle-même via Maître RP, Notaire, actuellement son employeur, de 20 000 € ! Vous pouvez imaginer ma réaction et les questions que je me suis posées face à tant de générosité soudaine? Pour anecdote et côté comique car il vaut mieux en rire, votre cliente m'offrait des cartes écrites de sa main de bons de cadeaux que je n'ai jamais eu pour anniversaire et Noêl ! Je réclame clarté depuis de nombreuses années. Aussi, je m'applique cette même exigence d'abord pour être en accord avec moi-même, ensuite afin que Mademoiselle BP ne puisse pas me reprocher quoi que ce soit.
Pouvez-vous m'indiquer quand et comment puis-je récupérer un jeu de clés? Vous pouvez comprendre que la situation présente me pose un certain nombre de questions... Vu la difficulté à récupérer les clés, le logement est-il réellement libre de toute occupation? Sinon pour quel motif, Mademoiselle BP persiste à contrôler abusivement en mettant en péril l'indivision ? Les éléments intentionnels de me porter préjudice s'accumulent. Depuis des années, je suis patiente supportant le diktat de votre cliente. Qu'elle se mette dans une situation délicate est son choix mais ce n'est pas du tout mon souhait et ne peux supporter plus longtemps ses agissements indélicats.
Je préconise, une nouvelle fois, une rencontre physique avec votre cliente. Je lui ai indiqué téléphoniquement qu'il faut faire abstraction du passé, chacun sa philosophie de vie mais qu'il serait judicieux de tourner cette page. Il devient également primordial de nommer le mandataire - Mademoiselle BP, moi-même ou une tierce personne - en attendant cette liquidation. Le notaire qui a géré la succession prend contact avec le syndic pour la rectification du compte copropriétaire. Ce dernier entrera en contact avec vous dès que je lui aurai communiqué l'ensemble des pièces de ce dossier.
Je n'envisage pas d'entrer dans une solution extrême. Si Mademoiselle BP manifeste enfin des signes et actes réels de bonne volonté, cela ne pourra que servir nos intérêts communs. Si elle persiste à vouloir continuer à tirer profit, cela ne sera plus de mon ressort. Je ne peux en faire plus et en dire mieux...
Espérant que vous arriverez à convaincre votre cliente de tout l'intérêt d'une collaboration réelle, concrète et d'un rendez-vous, en votre présence ou non ou d'une tierce personne, dans un lieu neutre,
Je vous prie de croire, Maître, à l'assurance de ma considération distinguée.
AP
22/10/2008
Bonsoir A
Absent en ce début de semaine je n'ai pas pu te répondre plus tôt et te prie de bien vouloir m'en excuser.
1. J'adresse donc une attestation de propriété au syndic;
2. En ce qui concerne la succession de tes parents il n'est juridiquement pas possible de renoncer par avance à leurs successions. Tu ne peux renoncer à une successsion que lorsque celle-ci est ouverte, soit après le décès, en vertu de la régle successorale d'ordre public selon laquelle on ne peut renoncer à un droit qui n'est pas né. Aujourd'hui tu n'as que vocation à recevoir...
Restant à ta disposition
Je te prie de me croire ton bien dévoué.
SA
PS : quelques nouvelles de M-A : elle aura 18 ans à la fin de cette année, a eu son bac à M2B en juin (série L) et séjourne en Angleterre pou 6 mois (école anglaise) avant d'attaquer ses études (de droit ???) pour la rentrée universitaire 2009.
19/10/2008
Merci la vie
"La vraie moralité consiste, non à suivre les sentiers battus, mais à trouver soi-même le vrai chemin qui convient et à le suivre de manière intrépide." Mahatma Gandhi
17/10/2008
Je viens de tenter de te joindre téléphoniquement mais sans succès comme d'habitude.
Depuis que j'ai appris, suite à mes relances demeurés sans suite, que tu avais quitté les lieux, je réclame en vain un jeu des clés pour passage expert et agent immobiliers.
Par mail du 13.10.2008 de ton avocat, Maître GB, j'apprends que tu serais susceptible de vider les lieux au 31.10.2008 mais sans aucune certitude et garantie. Et les soupçons que le logement n'est pas libre de toute occupation se confirment de plus en plus. Car pour quel motif "valable", ne pourrais-je récupérer un jeu de clés en qualité d'indivisaire si tu n'occupes plus les lieux ou une tierce personne et dans la mesure où tu n'étais pas à jour des indemnités d'occupation et que les charges de copropriété sont impayés depuis un certain temps vu le tantième que la mansarde représente?
Depuis des années, tu régentes cette indivision via ta convention unilatérale : indemnités d'occupation selon ton bon vouloir, retenue mensuelle d'office de la moitié des charges de copropriété que tu n'as pas reversé en totalité ou pas du tout (à voir avec le Syndic)... Tu m'accuses de sommes que tu ne m'as jamais réclamées de régularisation de charges par ton avocat. Je t'ai laissé faire car j'estimais que les liens familiaux avaient plus de valeur que le matériel. Or il s'avère que tes agissements prouvent une pensée strictement opposée à la mienne. Tu mènes ta vie et tes finances comme tu le souhaites. Je n'ai nullement à pâtir si ton choix est de vivre au-dessus de tes moyens car ton banquier qui stoppait sans motif les virements a bon dos ! Assume enfin ton choix au lieu de déformer la réalité et de faire du rapportage, à ton âge, à S et de me mettre sur le dos les pires calomnies. Je te serais gré de cesser de me nuire psychologiquement et financièrement tant par tes boniements que ton exclusivité abusif de contrôle du bien hérité de MM. Je regrette que cette affaire prenne la tournure actuelle rien que pour la mémoire d'une MM généreuse et altruiste. Vis-à-vis de toi, j'ai amplement assuré le rôle de grande soeur, petite soeur odieuse mais adorable lorsque tu avais besoin de moi mais je peux me regarder dans le miroir. Comme je te l'ai dit, j'ai eu la faiblesse de croire que tu pouvais grandir et que le temps arrangerait les choses. Or cela a été malheureusement le contraire puisque tu m'as enfoncée chaque fois plus dans ton unique intérêt.
Vu les difficultés que j'ai pu endurer car contrairement à toi, j'ai fait le choix de vivre en harmonie avec ma conscience et non de poignarder dans le dos S (car là-dessus, nous pensons certaines mêmes choses), je pouvais comprendre que tu puisses rencontrer des problèmes financiers (c'est humain) mais que j'attendais que tu m'en informes au fur et à mesure afin que je puisses prendre, de mon côté, les dispositions nécessaires. Ces propos, je te les ai tenus lorsque tu m'as remis un chèque de régularisation des indemnités d'occupation, le 27.11.2008 où tu m'as remis un double de la clé de la boîte aux lettres afin que je puisse domicilier mon courrier et m'as proposé un double du débarras - que tu n'avais pas sur ton trousseau - que je n'ai jamais pu avoir et ce, malgré mes relances tant téléphonique que mail... Plus tu aurais omis de m'indiquer en temps et en heure que tu aurais déménagé alors qu'avant ton mail du 02.06.2008, je t'ai maintes fois relancés pour les impayés... Maintenant la rétention des clés, de documents, la découverte d'une partie de tes autres impayés, du bien qui t'appartiendrait uniquement vis-à-vis du Syndic .... Je mets sérieusement en doute tes intentions...
Merci de me dire dès rapidement quand et comment puis-je récupérer un trousseau de clés. Je te rappelle mon mail du 15.10.2008 adressé au Syndic qui t'est parvenu en copie. J'ai besoin de convenir d'un rendez-vous sur place avec Monsieur B afin qu'il nous fasse une proposition de mandat – exclusif ou non - qui te sera soumis pour décision commune car je revendique la clarté qui n'a jamais existé de ta part et une indivision n'est pas de l'exclusivité de BP ou AP mais bien de B et A P !
Dans l'attente de te lire ou de t'entendre afin de tourner définitivement, rapidement et le plus sereinement possible cette page, je réitère que je suis disponible pour en discuter, avec une approche pragmatique, en convenant d'un rendez-vous physique. Je suis joignable au 06.XX.XX.XX.XX.
A
Bonjour S,
J'ai rendez-vous avec le syndic de la copropriété du bien hérité de notre tante, M-M R, sis XX boulevard des Filles du Calvaire à Paris 11ème, mardi prochain.
N'ayant actuellement aucun revenu (pas d'activités de mon entreprise suite à la reprise d'un traitement médical plus lourd), je vais négocier au mieux un échéancier pour épurer la dette des charges de copropriété et stopper les frais de procédure.
Monsieur SB, Cabinet FD, gère cet immeuble. Te serait-il possible de confirmer par une attestation (mail: x.y@z.com) l'indivision et non Mademoiselle BP afin qu'il puisse rectifier le compte copropriétaire ? Je t'en remercie dès maintenant. Le cabinet FD a été fraîchement nommé syndic donc n'a pas pu répondre à la question du titulaire du compte. Si nécessaire, je vais me rapprocher des anciens syndics.
Je suis en train de scanner des documents pour te donner mandat pour gérer cette sortie d'indivision. A la dernière nouvelle de l'avocat de B, elle ne souhaite plus racheter ma part donc je vais discuter avec le syndic pour un éventuel mandat que je soumettrai à B. Cependant je n'ai toujours pas récupéré un jeu de clés. J'émets des réserves sur une inoccupation car l'avocat parle de vider les lieux au 31.10.2008. Je ne suis actuellement pas du tout en forme avec mon traitement médical mais je vais tenter d'accélérer afin de te communiquer le dossier le plus complet possible. Peux-tu m'indiquer le montant de la provision de tes honoraires à te faire parvenir ?
Je sais que tu es le notaire des parents. Aussi peux-tu m'indiquer quel document dois-je établir et signer vis-à-vis de la succession future des parents afin de ne plus être héritière recherchée et ne plus revivre cette nouvelle expérience "inhumaine" ? Je te confirme que j'ai définitivement couper les ponts avec eux, j'en ferai de même avec B dès cette indivision clôturée. Dans les difficultés passés et actuelles, chacun à leur manière m'ont enfoncée, une absence totale d'équité même si selon eux j'ai bénéficié d'un voyage en C et de 4 ans d'études à Paris contre 2 de B à Bc donc "sans frais". J'ignorais qu'il fallait passer un contrat avec ses propres parents, question d'études??? B a sa personnalité mais son comportemet actuel vient en partie de l'éducation opposée de la mienne que les parents nous ont inculqué avec les notions de grande soeur (responsable, compréhensive, tolérante) et petite soeur excusable (car je pense que les parents contribuent aux relations entre fratrie) ce qu'ils nient. Lors de la dernière conversation téléphonique avec R, il a trouvé des "excuses" en disant que B avait un petit salaire sans même savoir ce que je gagnais (je ne savais pas qu'une grande soeur gagnait systématiquement plus qu'une petite???) alors que c'est avant tout une question d'état d'esprit et moralité. S répète que c'est une affaire d'adulte entre B et moi, qu'elle ne souhaite pas s'en mêler et ne prendra aucun partie pris (c'est normal). Je donnais un coup de pouce pour l'"arbitrage". C'est vrai que je ne me suis jamais plainte sauf depuis un an mais je déteste l'injustice et côté familial, j'en ai suffisamment subi. Certes je suis parfois "grande gueule" mais incapable de concrétiser. J'ai tenté le coup des tribunaux à B mais je ne suis pas crédible car elle me connaît. Le naturel au fond de soi est plus fort. C'est les aléas de la vie mais ce n'est malheureusement pas là ma notion de famille. J'ai effectué une demande auprès d'un avocat pour tenter de faire casser l'adoption plénière même si la loi ne le prévoit pas car j'ai honte de porter le nom actuel et les parents "ignorent" encoe des choses car n'ont jamais écouté. Le peu de fois où je parlais, étant systématiquement jugé par S, j'ai préféré le silence en l'absence de confiance.
J'ai adoré garder M-A. Etant sensible, je me souviens de ta remarque ou de C de la gâter par des babioles peut-être parce qu'elle est adoptée comme moi... J'avoue que j'avais été blessée. C'est mon tempérament tout simplement. Un enfant, c'est la vie. Il n'a rien demandé et cela me faisait plaisir d'amener une bricole par rapport à l'affection que je portais à M-A en tant qu'enfant tout court. Tout cela pour t'expliquer que la démarche n'est pas celle d'une adoptée qui vit mal l'adoption (même si j'ai un passé important avec une arrivée en France à presque 8 ans, même si S préfère toujours mettre sur ce motif) mais en qualité d'enfant tout court devenu adulte qui a cru qu'une harmonie familiale - certes avec des hauts et des bas comme dans tout - pouvait exister dans ce second foyer. En avoir connu une en C jusqu'au décès de mon père ne me rendait "malheureusement" pas vierge de cette notion, des attentes existantes à l'arrivée en France qui "ont compliqué" le rôle des nouveaux parents.
J'ai été bavarde, peut-être trop directe mais c'est un peu de mon état d'âme. Les 2 derniers paragraphes sont très personnels mais comme j'ai appris un peu en droit, il est toujours préférable de ne rien cacher pour être conseillé au mieux...
Avec tous mes remerciements.
Bien à toi,
A
15/10/2008
Mail au Syndic
Monsieur,
Je fais suite à nos deux échanges téléphoniques relatifs au compte Indivision P de la copropriété visée en objet.
Vous m'avez informé que le compte à l'unique nom de Mademoiselle BP, était débiteur, à ce jour, d'un montant total de 1536,69 € suite à l'appel des charges du 4ème trimestre 2008.
Je vous confirme, par le présent mail, le rendez-vous du mardi 21 octobre prochain à 14h, en vos bureaux de Paris 20ème, afin de régulariser le compte avec un échéancier convenable pour les deux parties.
Comme convenu, je vous serais gré de bien vouloir stopper toute procédure contentieuse et vous en remercie dès maintenant.
Vous serait-il possible de me préparer copie des 3 derniers procès-verbaux d'assemblée générale ainsi que le détail des charges de copropriété depuis 2001 mentionnant la quote-part des charges récupérables, documents que je n'ai pu obtenir de l'autre indivisaire?
Parallèlement, je demande au notaire de vous adresser l'attestation mentionnant que ce bien en question est du ressort d'un compte d'indivision dont les indivisaires sont Mademoiselle BP et moi-même.
L'indivision souhaite mettre en vente ledit bien. Je souhaiterai discuter d'un éventuel mandat avec votre cabinet et permettre à l'indivision de prendre une décision très rapidement. Je devrais récupérer sous peu un jeu des clés pour visite.
J'attends qu'un mandataire soit « officiellement » désigné pour être l'interlocuteur de l'indivision - BP, moi-même ou une tierce personne.
Je demeure joignable au 06.XX.XX.XX.XX si nécessaire.
Je vous prie de croire, Monsieur, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP
C.C.:
Mademoiselle BP, indivisaire à 50%
Maître GB, avocat de l'indivisaire Mademoiselle BP
J'accuse bonne réception de votre mail du 13 octobre courant en réponse à mon mail du 18 septembre. Je vous ai communiqué de nouveaux éléments par un mail, en date du 8 octobre (copie ci-dessous).
Comme je vous l'ai écrit depuis le début de cette affaire, je vous confirme à nouveau que je mettrai tout en œuvre, avec intégrité, pour cette sortie d'indivision. Cependant j'attends de votre cliente, Mademoisellle BP, cette même bonne volonté et non celle de me porter préjudice financièrement depuis des années entre les retards passés et impayés présents, les non-dits, les sommes non reversées partiellement au syndic, les faits accomplis, la rétention d'informations et de documents de la copropriété, les multiples versions...
Mes demandes légitimes d'indivisaire ayant été toujours ignorées, je reste sur mes réserves quant à l'engagement de votre cliente à vider les lieux au 31 octobre prochain. Cela confirme, une fois de plus, le manque de clarté de votre cliente et que le logement n'était pas libre de toute occupation. Cette situation du bon vouloir abusif de Mademoiselle BP et son « départ des lieux » non-conforme (absence de congé, du préavis de 3 mois, pas de remise d'un double des clés, lieux non laissés libres de toute occupation…) m'ont été, une nouvelle fois, préjudiciable en ne me permettant pas de prendre mes propres dispositions. J'émets également des réserves sur une inoccupation, y compris d'un tiers de votre cliente au vu des boniements de cette dernière.
Afin d'avancer dans ce dossier amiablement et « justement » du partage à venir, je souhaite parallèlement avoir des engagements fermes de Mademoiselle BP sur les points suivants afin de cesser de subir ses agissements indélicats, à savoir :
- La récupération d'un jeu de clés, dès connaissance du présent écrit, pour faire enfin passer un expert immobilier et agence immobilière. Pour information, ma dernière demande demeurée sans suite, remonte au 4 juillet dernier (cf mon mail qui vous a été adressé à cette date) ! Cela devient plus que urgent. Je n'ai pas à subir les conséquences déplaisantes du choix individuel de Mademoiselle Boon-ja Possenti dans cette indivision.
- L'expertise de Monsieur P date de 2003 avec des mutations dont la plus récente est de septembre 2001 ! Depuis cette date, vous ne pouvez ignorer que le marché immobilier a connu bien des fluctuations. Lors d'une récente consultation à la Chambre des Notaires de Paris, la péromption de l'évaluation m'a été confirmée.
- Décision de donner mandat exclusif ou non-exclusif,
- Solder les indemnités d'occupation du côté de Mademoiselle Boon-ja Possenti à la date de vider les lieux, date annoncée sur votre mail du 13.10.2008, au 31.10.2008. Période de départ des lieux communiquée : décembre 2007 par vos soins (votre mail du 05.06.2008), mi-mars 2007 par Mademoiselle BP (son mail du 02.06.2008) !!! Sans préavis, sans être à jour du versement des indemnités d'occupation et sans remise de double de clés par cette dernière !!! Je n'ai pu prendre, en conséquence, aucune disposition si ce n'est subir préjudice et désagrément.
- Solder la moitié des charges de copropriété non récupérables de mon côté si les comptes sont justifiés.
- Désignation du mandataire de l'indivision auprès du Syndic. Ce mandataire sera également chargé de faire effectuer les diagnostics obligatoires pour la vente.
- Choix d'un notaire de l'indivision venderesse.
Je vous informe que j'ai rendez-vous, mardi prochain, avec le syndic car ce dernier n'ayant aucune nouvelle de Mademoiselle BP, le dossier est au contentieux. La dette s'élève, à ce jour, à un montant de 1 536,69 €. Vu la surface du bien, vous pouvez facilement en déduire que les impayés datent depuis un certain temps. Parallèlement nous allons éclaircir le changement de copropriétaire de Indivision P à Mademoiselle BP puisque votre cliente ne juge pas utile de répondre à mes écrits.
Je suis ouverte à une rencontre physique constructive avec Mademoiselle BP, qui faciliterait indéniablement les choses. Cette suggestion lui a été émise à plusieurs reprises et je la réitère par votre intermédiaire.
Dans l'attente de vous lire et de pouvoir récupérer très rapidement un jeu de clés pour préparer la vente et voir l'aboutissement de cette affaire dans la sérénité,
Je vous prie de croire, Maître, à l'assurance de ma considération distinguée.
AP
2ème message à JPC sur Facebook
Je suis désolée de vous adresser à nouveau un message. B ne communiquant que par son avocat qui fait ce qu'il peut entre rétention d'informations et versions changeantes, j'ai absolument besoin qu'elle me contacte. Les huissiers sonnent à la porte. J'ai rendez-vous avec le syndic pour voir comment épurer la dette mais j'ai fait suffisamment la banque depuis des années et ne compte plus subir les boniements de B. Merci de lui demander de me contacter téléphoniquement afin de convenir d'un rendez-vous afin d'avancer intelligemment dans la sortie d'indivision. Avec mes remerciements par avance.
A
13/10/2008
Madame,
Je fais suite à votre mail du 18 septembre.
Je vous confirme que ma cliente est tout à fait disposée à faire cesser amiablement cette indivision.
La procédure à suivre pourrait être la suivante :
1) Votre sœur déménagerait de ce local d’ici le 31 octobre 2008 en laissant peut-être un ou deux meubles qui seraient proposés à l’achat à l’éventuel acquéreur.
2) Vous voudrez bien m’indiquer l’agence à qui vous souhaitez confier cette vente. Votre sœur et vous-même vous signerez chez cette agence un mandat de recherche d’un acquéreur.
3) Votre sœur estime que le prix devrait être de l’ordre de 23.000 € sans tenir compte de la commission d’agence.
Qu’en pensez-vous ?
Il existait une expertise de Monsieur P en 2003 pour un montant de 20.000 €. Il faut tenir compte que cet appartement ne peut faire l’objet d’un bail compte tenu de sa surface.
4) Le prix de vente devra faire l’objet d’une mesure de séquestre,le temps que vous fassiez amiablement ou judiciairement les comptes entre vous-même et votre sœur.
J’attends le plaisir de vous lire,
Et vous prie de croire, Madame, en l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
GB
10/10/2008
Je viens juste de tenter, une nouvelle fois, de te joindre téléphoniquement et ce, sans succès.
Pas de réponse à mes demandes reformulées à ton avocat, Maître GB, demandes existantes depuis quelques années. Pas de réponse à mes mails ni à mes appels.
Je te confirme mes propos laissés sur ta messagerie. Tu as choisi de faire appel à un avocat pour faire pression, c'est ton choix.
Je n'ai nullement l'intention, à ce jour, de lancer une quelconque bataille juridique bien que je subisse des préjudices financiers dûs à tes engagements non tenus, face à mes droits d'indivisaire bafoués et à un abus des tiens.
Je transmets les coordonnées de ton employeur, la SCP P.D. &D., ainsi que celles de Maître GB à mon conseil qui prendra contact directement avec eux.
Je te rappelle que je demeure toujours joignable sur mon portable au 06.XX.XX.XX.XX si tu juges utile de pouvoir avancer - humainement et justement - dans nos intérêts communs et non individuels.
A
08/10/2008
message à JPC sur Facebook
A destination de
Maître GB
Avocat
Avenue de M
75116 PARIS
Mail :
Le 8 octobre 2008
Maître,
Je fais suite au message téléphonique laissé, le 6 courant, à votre assistante.
Face au manque de réactivité de votre cliente, Mademoiselle BP, à mes demandes d'indivisaire maintes fois réitérées par écrit dont la dernière remonte au 23 mai 2008, j'ai effectué les recherches afin de retrouver les coordonnnées du Syndic.
Je suis entrée en relation avec le gestionnaire de la copropriété sise 14 Boulevard des FC à Paris 11ème.
Il apparaît que le bien est uniquement au nom de Mademoiselle BP alors que cela a été enregistré initialement Indivision P.
Le compte a toujours présenté des retards et est débiteur à ce jour, tout comme le cas des indemnités d'occupation au 2 juin 2008, date où j'ai été informée, pour la première fois, de son départ des lieux.
J'ai été également informée que le dossier a été transmis à l'huissier de justice.
Lorsque vous m'avez contactée, par mail du 5 juin 2008, j'ai été surprise d'apprendre que je serais, selon votre cliente, redevable de paiement complémentaire de charges de copropriété et d'avoir une autre période de départ des lieux que celle fournie par votre cliente en personne...
Pour mémoire, les modalités d'occupation m'ont été imposées par Mademoiselle Boon-ja Possenti (écrits de sa main): montant d'indemnités d'occupation fixé par elle-même, déduction faite de la moitié des provisions de charges dans la totalité et non, charges non récupérables, règlement mensuel donc pas de retard de "versement" des charges de mon côté du fait de cette retenue d'office. A aucun moment, je n'ai reçu de copie des relevés de charges et d'appel à régularisation car je n'aurai pas été amené à effectuer toutes ces démarches dont je me serais passées vu mon état et situation personnels.
A plusieurs reprises, j'ai tenté de joindre téléphoniquement votre cliente et lui ai confirmé le contenu du message par écrit. Il serait judicieux que nous puissions éclaircir la situation, vu le contexte, dans nos intérêts communs et non individuels, afin d'avancer sur ce dossier de sortie d'indivision,
Je demeure à votre disposition au 06.XX.XX.XX.XX, comme je l'ai mentionné à votre secrétariat à chaque appel.
Dans l'attente de vous lire ou vous écouter,
Je vous prie de croire, Maître, à l'assurance de ma considération distinguée.
AP
07/10/2008
Je te confirme mes propos laissés hier sur ta messagerie de portable.
J'ai retrouvé les coordonnées du syndic avec mes moyens face à ta rétention d'informations. Maintenant je connais la réalité de la dette avoisinant 1536 € et que le bien est à ton unique nom.
Jamais tu ne m'as réclamé une quelconque somme supplémentaire pour ma quote-part de charges et jamais fourni de copie de relevés puisque tout est là entre tes propos à l'avocat et mes réclamations.
La dernière fois que nous nous sommes entrevues, je ne demandais qu'une clarté des comptes et à régulariser les comptes si telle était la réalité mais sur justificatifs en déduisant les charges dites récupérables...
Pour rappel, mes demandes remontent depuis quelques années.
Monsieur SB qui gère l'immeuble, m'a informée du passage imminent d'un huissier...
Je pense qu'il serait enfin judicieux que nous nous voyons pour discuter dans nos intérêts communs.
Je recontacte Monsieur B pour voir comment épurer la dette pour éviter des frais d'huissier et récupérer l'ensemble des relevés depuis le commencement du paiement des indemnités d'occupation.
J'attends ton appel et envoie parallèlement un mail à Maître GB à qui j'ai déjà informé de la situation téléphoniquement via son assistante.
Je te suggère de faire gérer le dossier à nos notaires respectifs, plus propices à une solution amiable et surtout moins coûteux.
Je te redonne mon portable, à savoir 06XXXXXXXX. A bientôt.
A
06/10/2008
Face à ton silence et celui de ton avocat, Maître GB relancé le 18 septembre 2008, je lance les démarches afin de retrouver le syndic de la copropriété du Bd des FC.
Et cela, sans succès alors que je te rappelle que je suis indivisaire à part entière à hauteur de 50%, que nous sommes "Indivision P" et non "Mademoiselle BP" ou "Mademoiselle AP".
J'espère que les règlements des charges sont à jour (dans la mesure où tu as toi-même imposé une retenue d'office sur les indemnités d'occupation) et que je n'aurais pas la désagréable surprise de constater des impayés, ayant moi-même subi de ta part de gros retards répétitifs des indemnités d'occupation fort préjudiciables. Tu as déterminé seule les modalités de fonctionnement, des engagements que tu n'as su tenir.
Après maintes relances demeurées sans suite, je te contacte téléphoniquement, le 2 juin 2008, sur ton lieu de travail pour constater, une nouvelle fois, que tu me mets devant ta propre décision sans m'en informer évidemment alors que mes relances par mail sont demeurées sans réponse. Tu aurais quitté les lieux et n'entends payé aucun indemnités d'occupation à venir ni les arriérés. Je te rappelle que l'existence d'un préavis, à défaut d'information dans les délais, ne démarre qu'à compter de la date de notification.
Tu mets Maître GB sur ce dossier, le 5 juin 2008, pour sortir de cette indivision. Je lui ai fait mention de mes souhaits d'indivisaire (ayant aussi des droits) pour éviter des surprises (car tu m'as prouvé le manque de fiabilité de tes informations) en lui indiquant que je ferai le nécessaire pour cette sortie d'indivision et que j'en attendais de même de ta part sur un mail du 4 juillet 2008.
Or, nous sommes le 6 octobre 2008. Toujours rien, pas de documents ni même de clés. Est-ce normal ? Pourquoi entraves-tu mes droits d'informations d'indivisaire? La mansarde est-elle bien libre de toute occupation? Je commence à douter ...
Nous souhaitons toutes les deux sortir de cette indivision. Je demande une clarté et une certaine propreté et non uniquement selon les intérêts individuels mais communs de justesse, d'équité. Face à tes agissements passés d'indivisaire occupante et ton attitude présente, j'ai subi et subis encore des préjudices financiers difficiles à gérer dans mon état.
Certes, avec ta maternité, tu dois être occupée. Je vis avec mon cancer, son traitement et ses conséquences, gère mon entreprise qui ne permet pas encore d'en vivre. Aussi, suis-je bien placer pour savoir l'importance d'éviter ce genre de tracasseries supplémentaires.
Merci de me dire comment récupérer les clés dans les meilleurs délais pour éviter d'en arriver à une situation extrême où je me verrais dans l'obligation de saisir le tribunal compétent avec tous les frais imputables que cela engendrera. Merci.
A
04/10/2008
Ecouter
Ecouter peut être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu'un…
C'est lui dire, non pas avec des mots, mais avec ses yeux, son visage, son sourire et tout son corps : tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là…
Ecouter, c'est commencer par se taire.Ecouter,
c'est accueillir l'autre avec reconnaissance tel qu'il se définit lui-même sans se substituer à lui pour lui dire ce qu'il doit être.
Ecouter, ce n'est pas vouloir que quelqu'un soit comme ceci ou comme cela, c'est apprendre à découvrir ses qualités qui sont en lui spécifiques.
C'est être ouvert positivement à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans les interpréter, sans juger, laissant à l'autre son espace et le temps de trouver la voie qui est la sienne.
Etre attentif à quelqu'un qui souffre, ce n'est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c'est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son propre chemin pour se libérer…
Ecouter, c'est donner à l'autre ce que l'on ne nous a peut-être jamais donné : de l'attention, du temps, une présence affectueuse. [Jacques Salomé]
22/09/2008
18/09/2008
Mail à l'avocat
Maître GB
Avocat
Avenue de M
75116 PARIS
Mail : @aol.com
Le 18 septembre 2008
Suite à mon appel téléphonique d'hier faisant suite à plusieurs messages laissés durant vos congés, pouvez-vous m'indiquer à quelle date puis-je passer récupérer un jeu de clés du bien afin que l'expert immobilier et l'agent immobilier visitent le lieu?
17/09/2008
Relance avocat
31/08/2008
26/08/2008
Partir...
Sans se retourner…
Claquer la porte
Jeter la clé !
Marcher…
Sans peur et sans regret
Partir pour respirer
Pour ailleurs…
Ailleurs !
Partir… comme l’oiseau
Qui vole vers les blés.
Partir… courir… oublier…
Effacer tout ce gris
Tout ce passé
Tourner la page…
Marcher dans le soleil
Vers la forêt
Où l’air sera pur
Pour mon cœur fatigué…
Fatigué de comprendre,
D’expliquer, de donner
Fatigué d’attendre
Ce printemps espéré !
Vous donnez, mais bien peu quand vous donnez de vos possessions.
C'est lorsque vous donnez de vous-même que vous donnez véritablement.
Car que sont vos possessions, sinon des choses que vous conservez et gardez par peur d'en avoir besoin le lendemain ?
Et demain, qu'apportera demain au chien trop prévoyant qui enterre ses os dans le sable sans pistes, tandis qu'il suit les pèlerins dans la ville sainte ?
Et qu'est-ce que la peur de la misère sinon la misère elle-même ?
La crainte de la soif devant votre puits qui déborde n'est-elle pas déjà une soif inextinguible ?
Il y a ceux qui donnent peu de l'abondance qu'ils possèdent - et ils le donnent pour susciter la gratitude et leur désir secret corrompt leurs dons.
Et il y a ceux qui possèdent peu et qui le donnent en entier.
Ceux-là ont foi en la vie et en la générosité de la vie, et leur coffre ne se vide jamais.
Il y a ceux qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense.
Et il y a ceux qui donnent dans la douleur, et cette douleur est leur baptême.
Et il y a ceux qui donnent et qui n'en éprouvent point de douleur, ni ne recherchent la joie, ni ne donnent en ayant conscience de leur vertu.
Ils donnent comme, là bas, le myrte exhale son parfum dans l'espace de la vallée.
Par les mains de ceux-là Dieu parle, et du fond de leurs yeux Il sourit à la terre.
Il est bon de donner lorsqu'on vous le demande, mais il est mieux de donner quand on vous le demande point, par compréhension ;
Et pour celui dont les mains sont ouvertes, la quête de celui qui recevra est un bonheur plus grand que le don lui-même.
Et n'y a-t-il rien que vous voudriez refuser ?
Tout ce que vous possédez, un jour sera donné ;
Donnez donc maintenant, afin que la saison du don soit la vôtre et non celle de vos héritiers.
Vous dites souvent : "Je donnerai, mais seulement à ceux qui le méritent".
Les arbres de vos vergers ne parlent pas ainsi, ni les troupeaux dans vos pâturages.
Ils donnent de sorte qu'ils puissent vivre, car pour eux, retenir est périr.
Assurément, celui qui est digne de recevoir ses jours et ses nuits est digne de recevoir tout le reste de vous.
Et celui qui mérite de boire à l'océan de la vie mérite de remplir sa coupe à votre petit ruisseau.
Et quel mérite plus grand peut-il exister que celui qui réside dans le courage et la confiance, et même dans la charité, de recevoir ?
Et qui êtes-vous pour qu'un homme doive dévoiler sa poitrine et abandonner sa fierté, de sorte que vous puissiez voir sa dignité mise à nu et sa fierté exposée ?
Veillez d'abord à mériter vous même de pouvoir donner, et d'être un instrument du don.
Car en vérité c'est la vie qui donne à la vie - tandis que vous, qui imaginez pouvoir donner, n'êtes rien d'autre qu'un témoin.
Et vous qui recevez - et vous recevez tous - ne percevez pas la gratitude comme un fardeau, car ce serait imposer un joug à vous même, comme à celui qui donne.
Elevez-vous plutôt avec celui qui vous a donné par ses offrandes, comme avec des ailes.
Car trop se soucier de votre dette est douter de sa générosité, qui a la terre bienveillante pour mère, et Dieu pour père.
02/06/2008
Bonjour,
J'ai appris par le standard de l'Etude que tu avais essayé de me joindre, mais j'étais en rendez-vous.
J'aurai dû t'avertir un peu plus tôt, mais plus aucun virement ne sera effectué sur ton compte. En effet, suite à ma grossesse (accouchement pour le 20 août), nous avons déménagé et ce, depuis plus de deux mois 1/2.
B