19/05/2009

Allez un petit mail au super avocat de l'escroc !

Certaines personnes ont l'art de se dégager de beaucoup de choses. L'avocat de B qui sort au téléphone aujourd'hui "de toute manière, c'est un problème entre vous et votre soeur". Certes, imbécile, heureusement que tu es là pour me le rappeler. Et ton rôle d'avocat, imbécile ! Ce n'est tout de même pas moi qui lui ai demandé d'être l'avocat de B. Le mot soeur, elle le mérite même pas. Et puis, vu la tournure, je me dis que si B n'a pas du mal qu'à mon égard, ses actes dévoilent son sale état d'esprit. Au final, B le refera à d'autres car aussi pourrie actuellement, B recommencera tôt ou tard avec la prochaine poire. Ah ça tombe bien, la poire du faire-part de mariage... qui est-ce ? c'est JPC. Bonne chance mon gaillard. Surtout ne contrarie jamais B sinon elle te dépouillera de toute la sève, celle qui permet de voir positivement les choses ...


A destination de

Maître GB

Avocat

Avenue de M

75 PARIS

Mail :

Le 19 mai 2009

Maître,
Je fais suite à mon appel téléphonique de ce jour, encore de mon initiative. Je comprends que vous ne puissez pas inventer, comme vous l'avez mentionné, des réponses que vous n'avez pas de votre cliente, Mademoiselle BP.
Que vous soyez lassé de recevoir mes messages que vous n'avez pas le temps de lire selon vos dires, est un fait. Je l'ai fait afin que vous soyez informé au fur et à mesure, point qui me paraît indispensable pour la voie d'une solution rapide amiable, même si maintenant cela s'est avéré peine perdue! Cependant, je tiens à vous rappeler que c'est bien Mademoiselle BP qui est à l'initiative de notre mise en contact pour la sortie d'indivision et non de ma part. Et que c'est vous qui m'avez contacté à la demande de votre cliente, évoqué de vagues sommes dues au titre de charges complémentaires selon votre cliente, évoqué une libération des lieux au 30 octobre 2008... Cela fait un an que votre cliente, Mademoiselle BP, bloque abusivement et intentionnellement l'indivision, la mettant ainsi intentionnellement en péril et sans payer de charges depuis des mois et des mois.
Comme cité lors de mes précédants mails, j'ai dû consacrer beaucoup trop de temps au détriment du repos nécessaire dû à mes traitements de chimiothérapie pour tenter de rétablir la réalité et être le plus clair possible dans les comptes. De plus, votre cliente n'a pas jugée utile de répondre d'une quelconque manière à mes demandes relatives à l'indivision jusqu'à l'ultime infraction de remettre les clés à l'Agence Orpi B sans mon accord !
Elle est demanderesse de cette sortie d'indivision. Je ne m'y suis jamais opposée et je pense que j'ai suffisamment manifesté ma volonté d'une solution à l'amiable. Est-ce une faute, une infraction à la loi que de vouloir clarté et éviter à tout prix de mener sa propre soeur devant les Tribunaux alors même qu'elle est débitrice sur la période où j'ai pu récupérer les comptes par mes propres moyens avec l'aide de Maître SA, Notaire, pour prouver l'indivision au Syndic ?
Votre dernier mail remonte au 13 octobre 2008. Comme aujourd'hui et la fois précédente où je vous ai contacté afin d'avoir des nouvelles, soit en date du 25.02.2009, vous réitérez que vous me répondrez dès que vous aurez des nouvelles alors que vous n'avez même pas la délicatesse de répondre à un quelconque de mes écrits afin d'indiquer un délai ou faire patienter. Je vous serais gré de ne pas inverser les rôles dont l'initiatrice n'est autre que votre cliente qui persiste à ne pas répondre, faire rétention de pièces et clés tout en payant rien à ce jour et que vous êtes le conseil de Mademoiselle BP. Ce n'est nullement moi qui vous ai contacté initialement. Et je ne demande pas mieux que de ne plus vous joindre car cela serait enfin bon signe et que l'affaire serait réglée. Je suis navrée de devoir mettre les points sur les i car de patience d'avoir des nouvelles depuis un an que vous suivrez le dossier, j'en ai largement fait preuve !
Je vous prie de croire, Maître, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP



C'est beau la fraternité ! :-D Je préfère me déclarer orpheline que d'avouer que j'ai une crasse de famille comme celle-ci. Allez, je regarde ailleurs car c'est tellement plus sain que de ce côté là. B, qu'elle ne se fasse pas d'illusion, la roue tourne tôt ou tard, elle paiera un jour ces crasses gratuites. Quelle triste personne ! C'est sûr que maintenant je ne pourrai jamais plus lui tendre la main même si elle coule car elle ne fait simplement horreur ! Hâte de récupérer mon nom coréen, ne plus avoir aucun lien avec B, S et R. Waouh, c'est maintenant mon rêve ! Se débarrasser du vénin car une fois mordue, il reste à des traces. Alors un bon lavage huuuummmmm ! :-)
Pouquoi il y a autant de pourritures dans la vie ? Elle est suffisamment compliquée pour se passer de ce genre de serpents de personnes ...
B pensait m'effrayer en me mettant un avocat sur le dos. Elle est finalement très bête. Qu'ai-je à craindre dès lors que j'ai été correcte ? B, au contraire, n'est pas fute, fute. Lorsqu'on n'est pas réglo qu'elle a été et l'elle toujours, on se fait petit mais elle se croit tellement au-dessus de la loi, qu'elle fait entorse sur entorse ! Pauvre fille !!!

17/05/2009

Emotive

C'est dingue comme je suis émotive lorsqu'on me propose une aide... Une amie qui m'appelle pour mon état de santé entre les effets de la chimio, les grosses merdes venant de B. Elle, mère de famille de 2 grands enfants de 20 et 23 ans, ne connaissant ni S ni R, me propose de les appeler afin de leur faire comprendre que mon état de santé n'a vraiment pas besoin de ces merdes supplémentaires. Cette proposition m'a fait monter les larmes aux yeux. Je lui ai répondu que malheureusement ce n'était que peine perdue. Même le médecin des urgences ne s'est pas proposé de les appeler et des amis. Ce n'est pas la peine car ils savent que mon cas est sérieux car a été pris tardivement. De plus, S n'a cessé de mentir pas de double d'acte de propriété, pas de double de clés et que cette affaire, cela ne les regardait pas car c'était une affaire d'adultes entre B et moi. Oui, naturellement mais ce qu'elle oublie surtout ça l'est après avoit bien foutu la merde elle-même depuis des années durant l'enfance, l'adolescence ...
Lorsque S suit une thérapie, fait du yoga de l'énergie, tentant de se rapprocher du chemin parcouru par Marie-Mad, elle en sera toujours bien loin, incapable de justesse, équité, d'écoute et non pas celle que l'on souhaite et quand on a envie, uniquement de certaines personnes.
Mon planning s'organise pour la semaine après ce sera repos, régime prise de poids, gérer le contre-coup de ma séparation avec mon copain que je ne peux regretter de ne plus vouloir embarquer dans ce merdier. Le chemin est peut-être long mais la vérité doit ressortir et ressortira. Je vais vivre pour cela déjà. Lorsqu'on a été sali injustement, certaines personnes peuvent comprendre ce m=besoin, mon besoin que les faits soient reconnus et la personne soit rétablie. Et cela que j'attends le plus de la Justice. Je ferai tout pour me reposer uniquement avec des armes loyales : les faits, les devoirs et les droits dans l'indivision et contrairement à la partie adverse d'un enfant à charge, un petit salaire, du statut de petite soeur (pauvre R, il est descendu bien bas après tant d'années de vie avec S!). JPC doit être un genre de R donc B porte la culotte donc B prendra systématiquement le dessus. Donc c'est sûr que le miracle n'aura pas lieu d'ici la date butoire. Et l'avocat de B fait une grosse connerie de ne plus répondre à mes mails et appels dont sa collaboratrice était exécrable la dernière fois. Triste monde ! Vive la société du paraître, du posséder !

16/05/2009

Encore une belle rencontre

qui remonte le moral.
Hier, malaise dans les transports. Atterri aux urgences. Prise en charge pénible. Tête inclinée vers le bas et pieds en haut, il faut que la tension monte absolument. Piquée régulièrement pour recadrer le taux de glucose trop bas aussi. Bourrage de vitamines. Le corps est faible et le moral plutôt down car aucun miracle n'aura lieu. Aide d'un super psychiatre qui perçoit l'énormité dans l'éducation par S. Qui comprend aussi comme moi que les parents contribuent en patrtie aux relations présentes et futures entre fratrie, réfuté par S. Comprend aussi que j'emploie le terme "était ma soeur". Il en rigole vu ce que je lui en raconte et comprend l'emploi du passé. Comprend aussi que l'unique argument de S sur "adoption", "souffrance" est bien débile. Comprend que je me bataille car j'ai enfin besoin qu'à défaut de compréhension de la part de l'entourage, la justice reconnaisse que B était constamment hors la loi. Tout être humain a le droit au respect et non à être piétinée gratuitement sans preuve.
Il a eu l'encologue et ils sont tombés d'accord qu'il faille absolument que je reprenne du poids. J'ai tenté hier un rythme avant le cancer et naturellement, rien n'a suivi. Ce super médecin a compris que les agissements de B m'ont plus que fragilisés. Il m'a fourni une attestation qui sera utile devant le Tribunal si B persiste toujours autant dans ses saletés.
Je vois mon avocat la semaine prochaine. Encore quelques paperasses à faire, à régler. Puis destination maison de repos.

14/05/2009

Encore un mail ce matin adressé à B

Comment faire tourner en bourrique une personne ? Si vous pouvez faire espérer un gain facile, tournez-vous vers B ! :-D Mieux vaut rire de l'acharnement de B à se croire sans son bon droit, qui rappelons au passage est assistante juridique dans une étude notariale faisant infraction sur infraction. Par contre, je sens que je vais prendre un sacré coup de vieux à force de radoter. Un prof disait qu'il faut répéter au moins 3 fois afin qu'une classe puisse entendre les choses à assimiler. Hé bien, moi avec B, c'est des centaines de fois pour elle toute seule mais elle n'a toujours rien compris. Elle n'a d'ailleurs pas du tout compris que je me fous complètement de mon image. surtout à l'égard des personnes comme elle qui n'ont aucun respect. J'ai définitivement coupé les liens avec S et R (en possession du second exemplaire de l'acte de propriété et du jeu de clés du bien !!! trop forte S à aussi bien mentir également) et je n'attends plus que la fin de cette histoire pour le faire avec elle. Une soeur, une mère, je ne connais pas ici mais mon repère est en Corée. Je sais ce qui est normal familialement jusqu'au décès de mon père. Qu'est-ce qu'on apprend avec les 2 extrêmes ! L'espoir est dans le domaine du possible dès lors où l'environnement et les personnes s'y prêtent. Avec amour, respect et avec tout ce qui en découle dans une relation réciproque, le meilleur est possible. Ce n'est pas le cas avec S, R et B donc être en relation avec ces derniers, c'est le pire crescendo ce qui est le cas depuis de trop nombreuses années. Et je ne peux plus concevoir maintenant qu'une relation puisse à sens unique. Au moins, cela me permet d'effectuer en ce moment le grand ménage ! Comme quoi même dans les pires saloperies, il y a du positif ! :-D
Est-ce que ce genre de personnes agirait de cette manière ? Heureusement que non car ce serait guerre civile en permanence dans les familles et le monde n'existerait plus peut-être. Et je ne suis pas mère Thérèsa pour tolérer ce qui ne l'est pas tout simplement.

Toujours pas la grande forme physique mais le moral est bon et est déterminé. Fighting ! Fighting ! Prête à faire cesser, par tous les moyens mais conformes à la loi, l'injustice gratuite !


B,
Après maintes démarches de ma part pour faire rectifier le compte (en espérant que tu n'as pas émis un faux pour un tel changement de compte, point que je n'ai pas encore pu éclaircir !) et comme tu as pu le constater avec les appels de charges 2009, toutes les correspondances sont maintenant enfin adressées à "Indivision P". Seule détentrice abusive des droits auprès du Syndic, tu n'as même pas daigné effectuer ton changement d'adresse !!!
Aussi, tu trouveras, en pièces jointes, copie de la convocation pour la prochaine AGO du SDC visé en objet (du fait de la taille importante du fichier au format pdf de 81.03 MB, le lien de téléchargement est le suivant xxxxxxx), de l'enveloppe ainsi que du pouvoir que j'ai retiré à la Poste hier avec toute la tracasserie avec le terme "indivision" du fait de ton absence de réponse de l'étude d'un mandataire. Courrier qui m'a malheureusement encore appris de désagréables surprises alors que même je te réclamais également des informations depuis des années sur la copropriété où tout était rétention de ta part tout comme aujourd'hui !
Je réirère - je ne sais combien de fois - mes demandes, à savoir :
1/ tous les comptes du 01.10.2001 au 30.06.2006 afin d'établir un décompte, le nouveau syndic m'ayant fait une copie de toutes celles en sa possession dès l'indivision prouvée avec la collaboration de Maître SA. Pour rappel, les comptes ont été demandés par écrit au moins depuis 2003 !!!
2/ un jeu de clés que je m'engage à ne laisser à aucune agence sans ton accord comme l'exige la loi et stopper les indemnités d'occupation qui courrent légalement du fait de la rétention des clés. Indemnités payés jusqu'en mars 2008 alors que même et ce, uniquement après maintes relances encore une fois de ma part, tu daignes enfin y répondre début juin 2008 en m'annnonçant avoir quitté les lieux et imposer une nouvelle fois ta propre loi !!!
3/ nomination d'un mandataire de l'indivision qui assurera une gestion en bon père de famille. Détermination de fonctionnement de l'indivision.
4/ le remboursement des sommes que tu me dois depuis le 01.07.2006 à ce jour.
Le respect réciproque des devoirs de chaque indivisaire et de communication d'informations pour clarté et honnêteté ne pourront qu'être bénéfiques pour clore intelligement et sereinement cette indivision. Cela nécessite des efforts de chacune comme pour moi scanner la totalité des documents afin que tu sois en possession de tous les élements. Le temps que cela m'a demandé n'est pas négligeable puisqu'il m'a fallu une heure vu la quantité de documents !
Merci de bien vouloir me tenir informée de ta participation ou non à l'AGO. Dans le cas contraire, il sera nécessaire de déterminer ensemble les consignes de vote. Dans le cas contraire, je serais tenue de m'abstenir pour tous les votes sans être certaine à ce jour de pouvoir m'y rendre. Ce sera fonction de mon état de santé.
Tu connais l'état des lieux contrairement à moi. Le jeu de clés me permettra de le visiter. Ce n'est pas une faveur, cela fait partie d'un droit de tout indivisaire et tu ne peux pas continuer à agir ainsi, te mettant de toi-même en infraction comme le fait d'avoir laissé les 2 jeux de clés à l'Agence Orpi sans mon accord ...
Nous devons déterminer - désolée de le répéter - ensemble c'est-à-dire ni toi seule ni moi seule des modalités de vente et des comptes. Nous pourrons ensuite signer les mandats de vente.
En l'absence de réponses même partielles avant lundi prochain, soit le 20.05.2009 (cela te laisse encore un délai d'une semaine), je considérerai que la présente situation est irrévocable et mon avocat entamera les démarches pour la procédure judiciaire de liquidation et afin que tu fournisses enfin les documents devant le Tribunal compétent. J'en serais désolée d'en arriver là mais si tu bafoues mes droits depuis tant d'années, je me dois enfin de les défendre car abus de ma patience il y a tout comme abus de mes droits d'indivisaire sans compter la quasi totale absence de réponse - écrite et même verbale - quasi systématique à tous mes écrits, la diffamation et autres. Je t'ai laissé des années afin que tu réagisses et si seule la Justice peut te rappeler les droits et les devoirs de chaque indivisaire, je ne vois pas d'autres solutions. Je ne veux pas être la poire à subir impunément tes agissements à la sauvage contraires à la loi car le respect se doit d'être réciproque.
Bien à toi,
A

13/05/2009

Histoire de bijoux...

Dans une famille, il existe des choses naturelles qui ne doivent pas passer par une récompense.
Un exemple de fonctionnement de la famille P : étudiante, je passe des vacances chez S et R. B est partie en Angleterre, S ailleurs. Tout se passe bien car là-dessus, R pouvait être beaucoup plus lui-même lorsqu'il était seul. Il y a également son filleul J. R fait de la taille le long d'une allée bétonnée sur une échelle. Tombe sur l'arrête de l'allée.
Travaillant sur l'ordinateur de B sur la rédaction d'un ouvrage culinaire, J arrive en trombe dès l'accident. J'y cours avec lui et vu la gravité apparente - merci le secourisme obligatoire pour les services baby-sitting du cidj dans les années lycée - je l'oblige à rester immobilisé. Dur de batailler ferme car R souhaitait à tout prix se relever. Avec l'aide de J, quelques cousins pour le bloquer et un minimum de confort pour R, les secours sont appelés . Ouf, prise en charge efficace des secours direction l'hôpital. Un ami de R arrive à ce moment là mais personne ne pouvant vraiment réfléchir, je fonce à vélo direction hôpital. Il me semble que je n'ai jamais pédalé aussi vite même dans une compétition de duathlon. S appelée, arrive et décide de laisser B terminer tranquillement son séjour et ne pas la faire revenir. Fracture de vertèbres dorsales, les médecins disent qu'heureusement il n'a pas bougé sinon il restait paralysait. Période d'hôpital, de convalescence... Remerciements de S et R mais avouez que n'importe qui d'humain en aurait fait autant, c'est plus que normal. Et puis, ils me "récompensent" par un cadeau sans "motif": une bague en or sertie d'une aigue marine, premier bijou offert à S par R. B qui n'ignorait en rien du patrimoine bijoux de S, avait dit à maintes reprises que c'était son bijou préféré. Lorsque je le reçois, B le redit bien. Et B m'en a fait la tête alors que je n'ai rien demandé une fois de plus. Le seul bijou "affectif" offert comme cela par S, je l'ai redonné à B, symbolisant par là beaucoup de choses lors d'une "retrouvaille". B m'étalait tous les bijoux de valeur reçus par S entre temps. Je la laissais dire car je n'en avais que faire, la finesse n'était pas là comme à son habitude.
B a subi un cambriolage de ses bijoux et j'ai eu même droit à des soupçons de vol. Aucun appel de B tout comme de mon côté, et un coup de fil en pleine journée de travail. Je réponds présente spontanément comme toute soeur et je la récupère pour l'emmener chez moi car elle avait peur d'un éventuel retour des cambrioleurs. J'essaie de la rassurer comme je peux, la bichonner comme je peux. Venant de fêter le nouvel an coréen, je lui prépare un petit sac de friandises. Nous prenons les transports ensemble le lendemain matin. Je lui demande de me rassurer dès que le miroitier passe. Plus de nouvelles de sa part, je lui laisse un message. Et c'est finalement son parrain G qui m'en donne et me remercie d'avoir été présente pour elle. Ce que j'ai fait été une nouvelle fois dans la lignée d'une famille.
B me contacte lorsqu'elle a besoin de moi.
Le "comique" dans cette histoire, c'est que tous les bijoux de valeur ont été dérobés mais elle m'a dit qu'elle avait encore notamment de simples clous or et ruby que je les lui avais offerts... Interprétation du fatum ou non ?

Des amis formidables

Oreille tendu lorsque j'ai besoin de parler, échange ... comprenant que je peux plus considérer B comme une soeur.
J'ai pu lire chez un blogueur un texte lorsque vous voulez laisser un commentaire dont voici un extrait : "Personne (ni toi, ni moi, ni personne) n'a raison à 100% ni tort à 100%". Et c'est bien vrai dans la vie même si S, R et B pensent le contraire.
Mes amis sont ceux qui m'écoutent, jamais à la légère, ceux qui me connaissent mieux que quiconque en dehors de moi-même, ceux qui savent mon franc parler, ceux qui l'acceptent. C'est le respect mutuel et c'est bien là une des bases de nos liens forts. Ils délirent lorsqu'ils lisent les écrits passés de B, comprennent que je commence sérieusement à être désagréable car la patience j'en ai fait preuve. La bonne volonté et la recherche de clarté également ! Plus je reste correcte et patiente , plus B persiste dans son unique bon vouloir.
Maintenant, cessons l'utopie. JPC a connu un aperçu de quelques échanges depuis le démarrage de l'échange lorsque B m'a mis son avocat sur le dos. Seulement, ce dernier ne pouvait m'effrayer. J'ai gardé toutes les correspondances de B où les écrits vallent leur pesant d'or dixit les amis. Ca va finir par être étalé devant la Justice. Si B envisage de considérer JPC comme une bonne poire potentiel car je connais B, elle cache tant et tant de choses même à S et R, j'ai déjà décidé depuis un certain temps de ne plus être sa poire et sa banque. Bizarre cette manie qu'à B d'inverser les rôles !!! J'en rigole de ses accusations sans fondement. J'en ai que faire du prix de la vente, que cela soit vendu 1000 € aux enchères je n'en ai cure. Je veux simplement qu'elle soit clean sur les comptes. Je n'en serai pas arrivée à de telles exigences si elle n'avait pas porté des accusations à la légère. Bien vendre le bien, c'est surtout pour que B de perde pas trop car l'addition s'accumule avec ses erreurs de plein contrôle abusif de tout.
Comme disent mes amis dont quelques parents quadra et quinqua, cette relation des plus catastrophiques révèlent bien une partie de l'éducation de S et R.

12/05/2009

Mail à Maître du 12.05 à 11:17

A destination de

Maître GB

Avocat

Avenue de M

75PARIS

Mail :

Le 12 mai 2009

Maître,

Monsieur JPC, compagnon de Mademoiselle BP, est prêt à contribuer en fonction de ses moyens lors d'un entretien téléphonique que j'ai eu avec lui hier. Ce dernier s'étonnait qu'aucun document ne me soit parvenu alors que votre cliente lui aurait dit vous avoir remis des documents. Or, lors de notre dernier entretien téléphonique, une fois de plus de ma propre initiative à défaut d'avoir de nouvelles, en date du 25.02.2009, vous m'avez indiqué que vous ne manqueriez pas de me tenir informée si vous aviez de plus amples nouvelles de votre cliente car vous vous trouviez vous-même dans la même situation.

Souhaitant en avoir le coeur net, j'ai pu avoir ce jour votre collaboratrice téléphoniquement qui m'a confirmé que vous n'êtiez toujours pas en possession d'un quelconque document. Et malheureusement, ce n'est pas la première fois que j'entends deux sons de cloche !

En ma qualité d'indivisaire à 50%, je souhaiterai enfin comprendre les comptes, savoir ce que j'ai payé sans jamais pouvoir obtenir aucun document, documents réclamés à maintes reprises bien avant cette affaire. Serait-il enfin possible que votre cliente cesse ses magouilles ? J'en profite pour vous rappeler les propos de votre cliente par votre mail du 05.06.2008 :

"Je vous précise d’autre part, que votre sœur ayant quitté les lieux au mois de décembre 2007, et ayant procédé au règlement de l’indemnité d’occupation jusqu’au mois de mars 2008 inclus, elle n’entend pas vous verser de ce chef la moindre somme.
Bien au contraire, elle estime que vous êtes redevable des charges de copropriété dont elle a assumé partiellement pour votre compte le règlement."
Sans revenir sur les conditions de départ non conformes et l'annonce plus que tardive de Mademoiselle BP et toujours sa fameuse démarche de me mettre au pied du mur, si tel est le cas, pourquoi persiste-t-elle à maintenir le flou artistique ? Comme nul n'est tenu de rester dans une indivision, nul n'est censé ignorer la loi. Mauvaise payeuse des indemnités d'occupation (les copies de chèques ainsi que les relevés bancaires en attesteront malheureusement), mauvaise payeuse des charges de copropriété (courriers de relance, frais de relance), rétention de documents et des clés, abstraction de mes droits d'indivisaire, diffamation à mon encontre, 2 versions différentes de date de départ... quand votre cliente cessera-t-elle de jouer et mettre réellement de la bonne volonté ? Si elle n'a rien à se reprocher comme elle le prétendrait, pourquoi tant de rétentions ?
Parallèlement, après avoir eu une première fois téléphoniquement hier l'agence Orpi, j'attends leur appel pour récupérer une copie du mandat - exclusif ou non, je l'ignore à ce jour - et avoir confirmation qu'elle est en possession des 2 seuls jeux de clés (sans mon accord) provenant de Mademoiselle BP et Monsieur et Madame RP, selon les dires de votre cliente à Monsieur JPC.
Dans l'attente de vous lire,
Je vous prie de croire, Maître, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP

Mail à JPC du 12.O5 à 00:50

JP,
Tout d'abord, je vous remercie pour l'attention et l'écoute que vous avez bien voulu m'accorder. Je souhaite cette sortie d'indivision dans la meilleure clarté et sérénité possible mais il faut également la bonne volonté de la part de B.
Comme convenu, veuillez trouver, en pièces jointes, quelques documents constituant une partie du dossier remis à mon avocat.
B fait toujours la sourde oreille et mène les choses uniquement selon son bon vouloir comme toujours. J'ai tout indiqué sur le mail précédant.
Au final, je ne sais pas à quoi elle joue ? Si elle ne comprend pas que les décisions à 2 se prennent dans cette indivision surtout lorsque nous sommes toutes les 2 d'accord pour vendre, seul le Tribunal pourra le faire. Si il n'existe pas un minimum de communication 2 mails en un an m'imposant sans informations préalables des faits accomplis, rien ne pourra se faire. Je ne suis navrée mais je ne céderai pas une fois de plus à son diktat.
Si vous avez le pouvoir de la raisonner, cela ne pourra être que bénéfique pour tous. Nous souhaitons toutes les 2 tourner cette page et moi définitivement la page. Dès lors qu'une personne cherche systématiquement à magouiller, à tirer profit d'une autre personne, les relations ne peuvent être saines pour quiconque.
La balle est défintivement dans son camp.
Avec mes remeriements par avance.
Bien à vous,
A



Bon, si cela peut éviter un procès mais je crains que non...

Echange avec l'agence Orpi choisie par B

Lorsque j'ai reçu le mail de B, j'ai contacté l'agence Orpi. C'est bizarre qu'elle ne me communique à ce moment là aucune information. Il a fallu un premier mail afin qu'elle réagisse.

Mon mail du 12.05 à 13:28

Mme Z ou Mme D
Mesdames,
Suite au mail de Mademoiselle BP qu'elle m'a adressé hier et en copie à votre attention, j'ai été très désagréablement surprise - même si j'en ai l'habitude - avec les agissements de ma soeur sans aucune concertation de ma qualité d'indivisaire à 50%. Or comme nous ne pouvons l'ignorer tous, la signature d'un mandat de vente s'effectue conjointement par chaque indivisaire.
Madame Z, lorsque nous nous sommes rencontrés la première fois il y a plus d'un an, vous m'arrivez parler de la nécessité de visiter les lieux pour faire une proposition, ce qui est tout à fait normal. Or, je n'ai jamais pu récupérer un jeu de clés tout comme récupérer les documents comptables et autres paperasses dont procès-verbaux des travaux votés ou non.
Madame D, vous m'avez confirmé ce jour, lors mon appel téléphonique, qu'aucun mandat n'était encore signé par Mademoiselle BP pour sa part d'indivision, qu'aucune négociation n'avait été discutée et que vous êtiez bien en possession de 2 jeux de clés que vous allez remettre à cette dernière dès que possible tant qu'aucun mandat ne sera signé. Je vous rappelle que vous ne pouvez pénétrer dans les lieux sans l'accord de l'indivision complète.
Mademoiselle BP et moi-même sommes toutes les deux d'accord pour vendre à une tierce personne. C'est déjà un point important. Mais d'ores et déjà, je n'apprécie pas sa démarche alors que même je tente de récupérer un jeu de clés depuis un an et que j'ai des personnes susceptibles d'être intéressées par une éventuelle acquisition du bien dont je n'ai pu effectuer une quelconque visite. Je ne sais même pas dans quel état se trouve le logement.
Il est clair que je refuse catégoriquement de signer un mandat exclusif qui exclut une vente par notre propre moyen, encore moins de signer un mandat à blanc ou négocié sans concertation de l'autre indivisaire car la clarté est incontournable sur un compte d'indivision déjà "très floue" pour ma part du fait de la seule volonté de Mademoiselle BP où dans le pire des cas, la somme de la vente devra être bloquée sur un compte séquestre jusqu'à épuration du compte d'indivision.
Je vous prie de croire, Mesdames, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP


Il est vraiment désagréable de l'être pour apprendre plus de choses. La gentillesse ne sert strictement à rien. Car à chaque fois, c'est moi qui appelle.


Mail de réponse de Orpi à 16:06

Mademoiselle,
Nous sommes surpris du contenu de votre mail.
La semaine dernière votre soeur nous a contacté pour prendre rendez-vous avec notre agence afin de mettre une studette en vente.
Effectivement votre soeur est passée hier nous apporter un descriptif du bien en indivision pour la mise en vente évidemment avec votre accord.
A ce jour aucun mandat n' a été effectué, nous attendions un rendez des 2 parties d'un commun accord pour remplir ce dernier et apposer vos signatures.
Si vous n'êtes pas d'accord pour vendre votre bien, nous considérons cette démarche comme caduque.
Je reste à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire.
FZ


Je la rappelle afin qu'elle n'interprète pas selon son bon vouloir. Je mets les points sur les i. Faudrait vraiment cette manie d'inverser les rôles. Et lorsque je lui rappelle les agissements en utilisant le terme de "celle qui était ma soeur", elle réagit en disant que "c'est votre soeur" ! Encore une sale manie des gens qui ne subissent pas les agissements douteux de B et qui osent corriger.
Je lui réponds : "Croyez-vous qu'une soeur agirait de cette manière ? Croyez-vous qu'une soeur vous arnaque, vous met un avocat sur votre dos en portant des accusations erronnées ? ... Un an que j'en patie pour éviter à tout prix une procédure judiciaire car je considérais que c'était ma soeur ..."
Et là, soudain un grand silence ! Je crois qu'elle a conscience de certaines choses.

Soeur sur l'état civil ne signifie rien juste des emmerdes dans mon cas avec cette histoire d'indivision. Une soeur, c'est celle qui tente d'être la plus loyale possible, c'est une forme d'amie. Si elle devient un ennemi nuisible, désolée je ne peux concevoir que ce soit une soeur. Mais dans notre cas, S a joué un rôle déterminant.

Comme tout écrit ne doit pas demeuré sans réponse - c'est le BABA que j'ai appris durant 2 ans de droit des affaires - je lui ai répondu par mail à 17:38

Madame Z,
J'ai été moi-même surprise du soudain mail après une année de silence de la part de Mademoiselle BP avec le strict minImum. Je ne comprends pas ce que souhaite cette dernière puisque nous n'avons jamais pu discuter de modalités hormis un vague prix de vente que Maître GB, son avocat, m'a fait parvenir. Tous les sujets que j'ai engagé concernant cette vente future ont été faits abstraction par Mademoiselle BP, seule détentrice abusive des lieux.
Comment puis-je envisager de signer un mandat de vente en quelques minutes à votre agence avec une indivisaire qui ne daigne pas communiquer hormis par ses propres actes dont celui-ci putôt à la sauvage. Comment voulez-vous que je signe quoi que ce soit sans connaissance de rien et en n'ayant pas pu mettre un pied puisque le bien a été en unique possession de Mademoiselle BP ?
Je vous confirme que cette démarche est caduque même si la situation n'est ni agréable pour vous ni pour moi, et malgré ma volonté de vendre mais en connaissance en cause. Je crains de découvrir à nouveau de désagréables surprises et j'ai largement eu mon lot dans cette affaire.
Je vous remercie de me tenir informée dès lors que vous aurez remis les jeux de clés à Mademoiselle BP afin que je puisse lui réclamer à nouveau un jeu et visiter les lieux, discuter des modalités de signature de mandat(s) de vente par n'importe quel biais... Je n'écarte rien comme signature de mandat de vente. Je n'ai rien contre votre agence mais je n'ai plus du tout envie de me faire piéger une nouvelle fois. J'espère que Mademoiselle BP le comprendra ne serait-ce un minimum. A ce moment là, toute signature de mandat(s) de vente pourra avoir lieu avec sérénité et clarté.
Vous en remerciant dès maintenant,
Je vous prie de croire, Madame, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP


Je suis devenue une chieuse - au moins je le reconnais contrairement à la malhonnêteté de B - par la force des choses, des agissements peu scrupuleux de B qui a toujours commandé contrairement à ce que l'extérieur peut observer et comment dès le début S a mis son grain de sel et pris son partie pris.
Hé oui, des fouteurs de merde, il en existe partout et la famille P ne déroge pas à la règle derrière son image qu'elle veut rendre si lisse.
J'ai connu le plus d' affectif et le plus mauvais matériellement en Corée. C'était l'inverse dans la famille P. Je suis forgée de ces 2 vies et c'est cela ma richesse. Je ferais tout le nécessaire auprès du notaire de famille afin de ne plus être mêlés dans le futur dans de sordides histoires car cette histoire m'aura au moins de servi de leçon que les emmerdes ne cesseront jamais avec eux. Mieux vaut être seul que mal accompagné comme dit le dicton. Mieux vaut pas de famille qu'une permanente hyprocrisie et d'injustice permanente et l'absence totale d'harmonie.

Pratique

Dans mon cas, ce qui est pratique est que je n'ai aucune image à préserver puisque de nombreuses personnes de l'entourage de S, R et B m'ont accolé celle qu'ils vont voulu communiquer.
Découvrir encore un mensonge débile de B de faire croire qu'elle a déposé des documents, démontre malheureusement un certain état d'esprit.
Honnêtement, je pense que cela va réellement se terminer devant les tribunaux. L'aspect gain sur la vente m'importe peu. A défaut que B ne cesse ses mensonges et petites magouilles, je souhaite que le Tribunal reconnaisse des entorses de sa part à la loi. Cela ne fera pas pour autant changer le mal qu'elle m'a fait mais peut-être, réflechira-t-elle à plusieurs reprises avant de recommencer de tels agissements avec une tierce personne ? Mais au moins, la Justice ne pourra que confirmer ma bonne foi. J'ai été honnête, je me suis pliée aux diktat de B avec le fou et débile espoir qu'elle cesse ses agissements. Puisque B et son avocat ne veuille entendre mes droits légitimes d'indivisaire, la Justice s'en chargera et certainement moins gentiment et patiemment que moi car elle a d'autres chats à fouetter ! L'avantage lorsque la loi t'impose de faire telle démarche, la personne est tenue de répondre. Moi, je n'ai pas pu me faire entendre alors le coup de pouce de la loi m'aidera grandement.
Honnêtement je pense que JPC n'aura pas grand pouvoir non plus. Même s'il peut tenter d'être neutre, la nature humaine est plus forte de soutenir B, mère de leur fille E et future épouse. C'est ce que nous appellerons le partie pris naturel ! L'affectif n'a jamais été le raisonnable dans ce genre d'affaire et j'en parle en connaissance de cause puisque c'est ce dernier même qui m'a empêchée de porter l'affaire devant les tribunaux. C'est toujours plus facile lorsqu'on a affaire à un "inconnu". Mais là, il faut un grand miracle pour B si l'affaire doit se faire à l'amiable. D'ailleurs a-t-elle compris tout le sens de ce mot ? Oui, uniquement selon sa propre version ? J'agis toujours comme je l'entends et à l'autre de s'adapter et de se plier. Voilà son sens !
Allez sans regrets ! J'ai vu le pire de B que beaucoup n'ont pas connu et j'espère pour eux ne connaîtront pas.

Une autre réalité sur les documents

A destination de

Maître GB

Avocat

Avenue de M

75 PARIS

Mail :

Le 12 mai 2009

Maître,

Monsieur JPC, compagnon de Mademoiselle BP, est prêt à contribuer en fonction de ses moyens lors d'un entretien téléphonique que j'ai eu avec lui hier. Ce dernier s'étonnait qu'aucun document ne me soit parvenu alors que votre cliente lui aurait dit vous avoir remis des documents. Or, lors de notre dernier entretien téléphonique, une fois de plus de ma propre initiative à défaut d'avoir de nouvelles, en date du 25.02.2009, vous m'avez indiqué que vous ne manqueriez pas de me tenir informée si vous aviez de plus amples nouvelles de votre cliente car vous vous trouviez vous-même dans la même situation.

Souhaitant en avoir le coeur net, j'ai pu avoir ce jour votre collaboratrice téléphoniquement qui m'a confirmé que vous n'êtiez toujours pas en possession d'un quelconque document. Et malheureusement, ce n'est pas la première fois que j'entends deux sons de cloche !

En ma qualité d'indivisaire à 50%, je souhaiterai enfin comprendre les comptes, savoir ce que j'ai payé sans jamais pouvoir obtenir aucun document, documents réclamés à maintes reprises bien avant cette affaire. Serait-il enfin possible que votre cliente cesse ses magouilles ? J'en profite pour vous rappeler les propos de votre cliente par votre mail du 05.06.2008 :

"Je vous précise d’autre part, que votre sœur ayant quitté les lieux au mois de décembre 2007, et ayant procédé au règlement de l’indemnité d’occupation jusqu’au mois de mars 2008 inclus, elle n’entend pas vous verser de ce chef la moindre somme.
Bien au contraire, elle estime que vous êtes redevable des charges de copropriété dont elle a assumé partiellement pour votre compte le règlement."

Sans revenir sur les conditions de départ non conformes et l'annonce plus que tardive de Mademoiselle BP et toujours sa fameuse démarche de me mettre au pied du mur, si tel est le cas, pourquoi persiste-t-elle à maintenir le flou artistique ? Comme nul n'est tenu de rester dans une indivision, nul n'est censé ignorer la loi. Mauvaise payeuse des indemnités d'occupation (les copies de chèques ainsi que les relevés bancaires en attesteront malheureusement), mauvaise payeuse des charges de copropriété (courriers de relance, frais de relance), rétention de documents et des clés, abstraction de mes droits d'indivisaire, diffamation à mon encontre, 2 versions différentes de date de départ... quand votre cliente cessera-t-elle de jouer et mettre réellement de la bonne volonté ? Si elle n'a rien à se reprocher comme elle le prétendrait, pourquoi tant de rétentions ?

Parallèlement, après avoir eu une première fois téléphoniquement hier l'agence Orpi, j'attends leur appel pour récupérer une copie du mandat - exclusif ou non, je l'ignore à ce jour - et avoir confirmation qu'elle est en possession des 2 seuls jeux de clés (sans mon accord) provenant de Mademoiselle BP et Monsieur et Madame RP selon les dires de votre cliente à Monsieur JPC.

Dans l'attente de vous lire,
Je vous prie de croire, Maître, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP

Le réseau fonctionne plutôt bien

Ce soir, par intermédiaire, j'ai pu avoir l'avis d'un notaire. Oui, B s'est mise dans la panade car elle avait signé un mandat sans même m'en parler. Si un exclusif, si elle ne le dénonce pas rapidement, elle engage seule sa responsabilité puisque l'agence pourra se retourner contre elle si je ne signe pas. Comme me l'a rappelé le notaire, ne jamais signer sans avoir pris le temps d'éplucher le mandat, ce dont j'avais bien l'intention. Si c'est un exclusif, il existe tant de pièges à faire rectifier. B veut expérimenter ? Moi, je n'en ai nullement envie surtout avec tout ce que B m'en a fait voir ! Je vendrais bien ma vie afin que certaines personnes qui ne savent dire que yaka prennent réellement conscience de certaines choses.
L'attitude de B ne me surprend plus du tout. C'est bel et bien la confirmation que je ne peux plus considérer une telle personne comme une soeur. Même un lien "juridique" ne pourra rien y changer. Le lien de coeur n'y est plus définitivement. C'est mieux ainsi. La vie est suffisamment complexe alors éviter maintenant les personnes escrocs, quel que soit le lien, c'est le mieux pour vivre en harmonie avec soi, avec les autres que j'apprécie et qui m'apprécient, et avancer sans regrets mais bien avec soulagement suite à l'abandon des fardeaux inutiles.
Comment espèrerait-elle encore une fois à me mettre devant le fait accompli ?
Comment pourrais-je lui faire confiance alors que c'est toujours le flou volontaire de sa part ? pour mieux masquer mais tôt ou tard, la vérité éclatera ! A priori elle a pris au sérieux la procédure judiciaire. Elle ne pourra certainement pas l'éviter en agissant de cette manière.
Dans cette histoire, j'ai appris que malheureusement l'habit faisait définitivement le moine, que l'honnêteté ne payait pas et rien ne fonctionne mieux que l'apparence et l'hypocrisie. Certaines personnes ne savent pas écouter ou uniquement ce qu'elles souhaitent ou que le dernier qui a parlé a systématiquement raison. Il y a des choses qui ne changeront jamais alors pas la peine de s'acharner à croire l'impossible comme je l'ai fait vis-à-vis de S, R et B. Seul chacun de cette pseudo famille sait qui il est et vit avec sa conscience ! Je crois que je ne renouerais jamais avec certaines personnes du passé car ce sera une pure hypocrisie de ma part. Au final, je me rends compte que je n'ai rien perdu de ce que je ne pouvais pas vivre, profiter selon mes désirs d'enfant ou ado que S ne m'autorisait pas.
Le cancer est une belle saloperie mais la pire peut venir de l'autre.

Et un mail au cher avocat de B

A destination de

Maître GB

Avocat

Avenue de M

75 PARIS

Mail :

Le 11 mai 2009

Maître,
Veuillez trouver, ci-dessous, l'échange de mails de ce jour avec votre cliente, Mademoiselle BP, seule "réponse " depuis son mail du 02.06.2008 malgré mes nombreux écrits et messages téléphoniques systématiquement demeurés sous silence !!!
Je suis désagréablement - mais malheureusement habituée - surprise de constater à nouveau un fait accompli sans ma concertation, indivisaire à 50%. J'espère que Mademoiselle BP n'a pas signé de mandat exclusif alors que vous m'aviez parlé d'une certaine procédure pour un aboutissement amiable de la vente dont l'agence chargée de la vente alors que même, je n'étais pas en possession de clés (toujours pas le cas à ce jour tout comme les documents réclamés) afin de mettre en concurrence différences agences immobilières, étudier modalités et conditions afin de les soumettre à votre cliente pour décision commune car cela est une des bases fondamentales de l'indivision, à priori toujours incompréhensible de la part de votre cliente. Compte-t-elle payer pour moitié aux diagnostics obligatoires alors que même elle ne daigne effectuer déjà un quelconque remboursement des sommes dues à mon égard et me communiquer les comptes antérieurs ? Je puis vous assurer qu'il est très désagréable de se sentir arnaquée et d'être accusée de l'inverse par Mademoiselle BP. Et l'unique bon vouloir de Mademoiselle BP, selon sa propre loi, ne pourra jamais faire avancer positivement les choses.
J'attendais également les clés car des personnes sont intéressées pour visiter. Mon dossier est actuellement entre les mains d'un de vos confrères pour une éventuelle procédure devant le Tribunal. Vous n'êtes pas sans ignorer qu'à aucun moment je ne me suis opposée à une sortie indivision par la mise en vente du bien d'abord au bénéfice de votre cliente qui s'est rétractée par la suite puis à une tierce personne mais j'ai toujours réclamé la clarté des comptes. Cela a été mission impossible à ce jour. Aucune de mes demandes légitimes d'indivisaire n'ont abouti alors que même j'ai dû faire face seule aux impayés de Mademoiselle BP qui n'avait pas reversé la totalité des sommes retenues pour les charges et aux nouveaux appels (copie des chèques en ma possession).
Mademoiselle BP a toujours mené la danse. Quand cessera-t-elle d'agir en mettant en péril l'indivision pour m'imposer sa propre loi ? La crise immobilière a commencé à toucher en fin d'année 2008 alors que rien ne pouvait s'opposer à une vente antérieure hormis et toujours la rétention des clés et documents de votre cliente ! J'ai proposé maintes et maintes solutions pour avancer au mieux, intelligemment et dans la meilleure sérénité dans ce dossier. Aucune réponse de votre cliente ni par votre intermédiaire jusqu'au mail de ce jour ! La situation se réitère et s'evenime par la seule volonté de votre cliente. Comment votre cliente compte-t-elle procéder pour la régularisation des charges à 50/50 sur celles non récupérables ainsi que les indemnités d'occupation entre autre durant toute la période de rétention exclusive et abusive des clés (cf les nombreuses jurisprudences à ce sujet où sans la remise des clés, le logement n'est pas considéré comme vide et libre d'accès et que l'indivisaire occupant reste reponsable jusqu'à leur restitution!)? Le Juge du Tribunal compétent devra-t-il intervenir là-dessus ? J'ai tout mis en oeuvre pour éviter une procédure judiciaire à mon propre détriment financier et santé.
Si Mademoiselle BP ne se décide pas enfin à clarifier la situation et les comptes et à y mettre de la sincère volonté, je préfère honnêtement remettre l'affaire entre les mains de la Justice surtout lorsque nous pouvons constater une présente situation désastreuse où les manoeuvres indélicates de votre cliente surgissent trop régulièrement. Car je crains que seule la Justice pourra lui rappeler l'existence des devoirs et des droits de chaque indivisaire et non pas droits d'un côté et devoirs de l'autre... La patience, la tolérance connaissent tôt ou tard des limites !
Dans l'attente claire et précise d'une réponse de votre cliente sur ses intentions à tous niveaux et de la récupération d'une copie des documents comptables et autres procès-verbaux d'assemblées,
Je vous prie de croire, Maître, à l'assurance de mes distingués sentiments.
AP

11/05/2009

Entretien téléphonique avec JPC

Ayant réussi à récupérer le numéro de JPC - hé oui, les enquêtes commencent à être bien rodées - nous avons eu une conversation qui j'espère aboutira enfin à une intelligence de B au service de l'amiable et non plus de l'escroquerie.
Grâce à lui, j'ai eu encore un mensonge de plus de S et R qui n'avaient déjà soit-disant pas le second exemplaire de l'acte de propriété du simple fait d'un exemplaire unique (premier mensonge contredit par le notaire ayant en charge de la succession car indivision, systématiquement en 2 exemplaires) et appris ce jour le second, S et R étaient bien en possession d'un jeu de clés qui a été remis à l'agence selon JPC avec celui de B !!! Ils sont mêlés depuis le début mais ils osent affirmer le contraire. Comment avoir des pseudo-parents qui enveniment une situation où une pseudo-soeur escroque selon son bon vouloir sous couvert des derniers ? Voilà le joli schéma de la famille P. C'est une famille où on vous fait payer le franc-parler car même si chacun se poignarde dans le dos, c'est l'hymne à l'hypocrisie. Je n'ai pas accepté ce jeu que j'ai toléré trop longtemps pour m'avoir détruite durant une longue période.
JPC a l'air d'avoir la tête sur les épaules. Allez, encore un qui se fera bouffé par B. Il le saura beaucoup plus tard. Si c'est un genre de R, B aura de la chance, ça tiendra.
Un inconnu mais proche de B qui accepte de contribuer à solder cette situation au mieux, c'est déjà pas mal.
B en signant un mandat de vente avec l'agence Orpi - sans m'en avoir parlé auparavant bien évidemment - me demande de prendre contact pour signer. Elle s'est mise en difficulté car dans une indivision, tout le monde décide ensemble. Oui toutes les 2 pour vendre, mais non à une agence en mandat exclusif où je ne connais pas les modalités et les honoraires. Vive l'assitante juridique qu'est B, surtout à éviter car elle vous entraînera plus dans les embûches. Faire les choses dans les règles lui semble trop difficile.
C'est bizarre que Maître GB m'est donné son accord au nom de sa cliente afin que je me charge de la vente sans les clés mais j'avais mentionné la nécessité d'en avoir un jeu de clés afin de faire passer plusieurs agences. B a refusé puisque par son comportement anti respect de l'indivision où les décisions doivent être prises à l'unanimité. Même si nul n'est tenu de rester dans l'indivision, des droits sont à respecter. Oui, je suis d'accord de cette sortie mais pas dans les conditions que j'ignore et simplement signer. Cela dérange B que je veuille comprendre, que je veuille savoir, que je veuille éplucher les comptes !!!
Allez, j'ai été trop conne de croire qu'elle était autrement que cela.
Si j'avais fait subir ne serait-ce qu'un 10ème des actes de B envers elle, je puis vous assurer que S et R n'auraient jamais laissé passer ça !
J'espère que cette situation va enfin s'achever avec clarté et intelligence si B le veut bien enfin. Merci à JPC qui va certainement y contribuer mais rien n'est joué.
Après adieu ces mochetés familiales, en route pour récupérer mon nom de famille coréen et ne plus avoir un quelconque lien et tout faire que les histoires futures d'héritage ne me concernent plus. Les personnes fonctionnant avec le coeur seront mille fois mieux où beaucoup de bonnes choses sont possibles. :-)

Réponse à mail de B

Adressé à 18:35
B,
Je te confirme que, sur le principe, je ne m'oppose nullement à régulariser un voire des mandats de vente. Mais la balle est dans ton camp puisque j'attends toujours les documents comptables que Maître GB n'est pas en mesure de me faire parvenir.
Tu n'es pas sans ignorer nos échanges via Maître GB. Tu n'as jamais daigné répondre à mes demandes (cf les nombreux mails adressés à toi et à ton avocat) juste des diffamations à mon encontre. J'attends toujours une clarté dans les comptes. Je t'ai fait parvenir, par courrier en date du 6 avril 2009, les détails des comptes sur les derniers un an et demi où il paraît clairement que tu m'es redevable de sommes que tu n'as pas jugé utile de rembourser. D'ailleurs j'en profite pour te les renvoyer par mail. J'attends toujours copie des comptes d'indivisaire des autres années. Chaque indivisaire - donc aussi bien que toi que moi - a des devoirs et des droits. L'affaire suivie par Maître GB traîne du fait de ton unique volonté, ce que tu ne peux nier. Je te rappelle que les indemnités d'occupation sont dues jusqu'à remise des clés.

Une fois de plus, tu me mets devant le fait accompli après des mois de silence où je n'ai pas pu récupérer les clés, en m'adressant ce mail ci-dessous.
Je te remercie de bien vouloir laisser à l'agence un second jeu de clés à mon intention. Car il me paraît plus qu'anormal su'en qualité d'indivisaire à 50% à ne pouvoir visiter le bien qu'en présence de l'agence. Je connais également des personnes susceptibles d'être intéressées par l'acquisition. Donc il me paraît plus que judicieux que la situation s'éclaircisse. Quant aux différents diagnostics, les agences immobilières travaillant systématiquement avec les mêmes sociétés, il serait judicieux de faire une mise en conccurence. Je te rappelle que les dignostics sont payables pour moitié par chacune de nous. Or ton compte présentant un débit en ma faveur sur un an et demi sans compter les indemnités d'occupation (plus d'un an à ce jour) selon les jurisprudences, je n'ai nullement l'intention de faire ta banque. Tu connais parfaitement les comptes de l'indivision, je souhaite en savoir de même pour simplement savoir où je vais. Je te précise que cela fait également partie de mes droits d'indivisaire.

Dans l'attente des documents et d'un jeu de clés,
Bien à toi.

A
La vie est un échange tout comme l'intelligence. B pense-t-elle que c'est uniquement à son bon vouloir et à sa manière en faisant abstraction de tout. J'apprécie l'honnêteté mais là j'avoue que B est bel et bien la personne la plus malhonnête et escroc de mon entourage. C'est bien triste ! C'est surtout une triste personne. J'ai eu le "privilège" de connaître les pires facettes de B. Allez, mieux vaut en rire !!! Avec ce genre de personne, rien n'augure de bon. Et honnêtement je ne perds strictement rien parce que c'était systématiquement à sens unique avec son bel comportement adorable lorsqu'elle avait besoin de moi, exécrable le reste du temps sous le regard bienveillant de S et R.

B me prend définitivement pour une idiote

Mail reçu ce jour à 17:08, adresseé en copie à l'agence Orpi du coin :
Bonjour A,
Les clés ont été remises à l'agence ORPI-Agence B/107-109 bd B
-Paris 3ème - Tel : 01 44 54 29 19.
Merci de prendre contact avec Mme Z ou
Mme D pour signer le mandat de vente.
Par ailleurs, l'agence mandate la
société qui va établir le dossier de diagnostics techniques (Amiante, Plomb,
Termites, DPE, ERNT+ certificat Loi Carrez).
Pas de nouvelles depuis plus d'un an, plus de nouvelles de son avocat ces derniers temps faute lui-même de nouvelles. Voilà encore un diktat de B. Elle est géniale cette soeur. Qui en veut une comme celle-ci.
J'appelle l'agence que j'avais déjà contactée auparavant.
Sous ses airs à ne pas y toucher, B commande bel et bien en menant le jeu à sa guise !

04/05/2009

Des juridiprudences !

Elles sont nombreuses et tout dans mon sens. A priori, c'est mon cas est particulièrement atypique puisque que c'est uniquement B qui a tout déterminé (contraire à une convention d'indivision donc caduque) et pris des engagements incapables de tenir, fréquemment mauvaise payeuse. Ce qui en somme aggrave son cas puisque je n'ai jamais eu mon mot à dire. Le juge déterminera le mode de calcul des indemnités d'occupation et là ce n'est pas de la tarte puisque l'absence de réponses, la rétention des documents et des clés n'ont pas permis la mise en vente dont son avocat avait donné son accord au nom de sa super cliente escroc. La crise immobilière arrivée entre-temps sera un des paramètres qui entrera certainement en ligne de compte. 
Mon ex, ayant un DESS de droit,  m'a communiqué quelques juridiprudences que je vais compléter. De nature curieuse, j'aime bien effectuer des recherches, me perfectionner ... mais là, j'avoue que dans cette affaire, je ne peux nullement y trouver un quelconque plaisir mais c'est bien un passage obligé. C'est plutôt chiant, une énergie épuisante mais B ne me laisse plus le choix. Tôt ou tard, il faut bien contrer la bêtise, la méchanceté, la malhonnêteté, l'injustice. C'est malheureux, navrant  d'en arriver là. Triste monde ...

02/05/2009

Fighting ! Fighting !

Comme on dit en coréen où le konglish est croissant ! Je suis contente le dossier est presque bouclé afin de le laisser au commissariat. Toutes mes accusations seront illustrées, cela fera gagner du temps dans la procédure. Un an à croire que B se réveillerait enfin de sa comédie, un an à repousser à tout prix la procédure juridique, une année d'enquête où les découvertes ne sont pas belles du tout. Vis-à-vis d'un étranger, je n'aurai certainement pas traîné.  Je n'inquiète personne, ni B, ni S et R. J'ai une grande gueule mais passer à l'acte, c'est tout à fait autre chose. Donc ma grande gueule de menace de procédure n'était pas crédible. Mais ce que ces personnes ignorent c'est que j'ai enfin franchi un cap. 
Le comique est que beaucoup de personnes se permettent de porter un jugement sans rien connaître si ce n'est l'unique version de B, qui ne savent même pas ce qui se passaient dans l'intimité entre S, R, B et moi. Au moins, c'était toujours mieux lorsqu'il y avait du monde car S était capable de manifester de la fierté, d'être plus "cool"... De mon côté, des amis ont entendu comment me parlait S au téléphone sans qu'elle sache qu'il y avait haut parleur. Certains l'ont traitée de folle, pas du tout maternel (sans surprise). Au vu des courriers de B, ils m'ont fait remarquer qu'elle ne pouvait pas être une soeur. 
Malheureusement il existe plus de gens qui jouent la comédie en permanence. La seule personne que je connaisse bien est B. Peut-être mieux qu'elle car je connais son passé, y compris sa vraie date de naissance car il y a eu erreur de transcription selon une copie d'acte de naissance en possession de mon grand frère, comment elle était en Corée, dans l'environnement familial  car à priori elle n'en garde pas de souvenirs apparents même s'ils sont enfouis en elle. Je lui tire mon chapeau car savoir berner tout son entourage, c'est fort ! Si un autre "miracle" existait en une rencontre avec JPC - je pense peu croyable car le doute est-il préférable que la vérité que je peux étayer naturellement - je serais encore capable de la ménager, bête comme je suis. Et puis même si je lui mettais le nez sur les nombreux documents, serait-il capable de croire alors que même il connaît une autre B ? Si leur futur mariage se terminait par un divorce - ce que je ne leur souhaite pas - mais uniquement à ce moment là qu'il serait susceptible de se rendre compte d'une autre B. Ce n'est que lorsqu'on a été le pigeon de B, que l'on peut la connaître réellement !
Je ne suis pas certaine qu'un étranger m'aurait fait subir autant de crasses...
Mais fighting maintenant ! :-) A défaut de n'avoir pas pratiqué le taekwendo (sport national coréen), ce sera kung-fu avec coup du cobra suivi d'un bel balayage ! :-D

01/05/2009

Peut-on mentir impunément ?

Philosophique cette question !
Le mensonge, cela ne dure qu'un temps même si le profit ne concerne que l'instant présent. Rien de surprenant dans une société de consommations où posséder et paraître priment au détriment d'être, on privilégie le curatif que le préventif, on préfère l'hypocrisie au franc parler... 
L'expérience m'a apprise qu'un menteur se trahit lui-même tôt ou tard. Pour mener à bien mes études, j'ai travaillé en parallèle dès la seconde moitié de la première année. Les ouvrages étaient coûteux et le  choix n'était pas possible autrement. S et R avient déterminé le barème donc pas la peine de discuter, pas la peine de réclamer car c'est une démarche qui était formellement interdite. J'ai vécu une journée d'enfer chez un patron d'une jour qui s'est limitée à la triste expérience de harcèlement sexuel coincée au sous-sol d'un restaurant, sans témoins évidemment. Fille au pair dans la famille du 16ème dont les 2 pères étaient avocats, ils m'ont aperçu le soir dans tous mes états. Autant j'étais plutôt bien exploitée contre une chambre de bonne, autant sur cette histoire, un des pères a été cool et m'a encouragée à porter plainte. Lorsque je lui ai répondu que je n'étais rien et que je n'avais aucun témoin donc preuves, c'était peine perdue. Comment pouvait-on croire ma parole d'étudiante face à un "supérieur" ? Il m'a remis sa carte et m'a demandé de se rendre au commissariat en remettant cette carte au commissaire. J'ai fait cette démarche sans conviction avec une main courante. L'affaire a traîné. Suite à la plainte, j'ai été convoquée au commissariat où les policiers avaient mené une enquête. Ils ont découvert qu'une dizaine de filles avaient subi la même chose. Le policier en charge du dossier m'a dit qu'il était nécessaire de porter plainte afin que ce salaud cesse ses agissements. Je l'ai fait puisque aucunes des filles ne le voulaient. 
Mon dossier a traîné encore - vous connaissez la lenteur administrative - et vlan, il a atterri par erreur au Tribunal de Police. Les juges plutôt cools décident de traiter le dossier même s'ils sont surpris d'un tel dossier qui aurait dû atterrir au Tribunal d'Instance. J'étais parmi les dernières à passer et j'entendais les délits routiers des uns et des autres. Un qui avait grillé un feu rouge, 2 chauffeurs chinois qui s'étaient bagarrés, un routier qui avait conduit trop longtemps... Je ne sais pourquoi, la salle d'audience ne s'est nullement vidée lorsque c'était mon tour. Une salle pleine de bonhommes et le juge qui me pose des questions de détails et moi mal, très mal. Mon cas disportionné, non adapté à ce Tribunal. Et je sentais l'impression des gens que leurs histoires étaient riquiquis dues à leur connerie... Le patron d'un jour n'est naturellement pas venu. Il estimait qu'il ne courrait aucun danger face à une misérable étudiante. Verdict immédiat! la peine maximale du ressort de ce Tribunal: un an de retrait de permis ! C'est plutôt délire vu la situation !!! Et 6000 Francs de dommages et intérêts basé sur un billet A/R à Séoul ! 
L'escroc sexuel bien sûr a fait appel. B serait susceptible de réagir de la même façon. Ces personnes ont dû finir par se persuader que leur mensonge était la vérité ! 
Et le dossier atterrit là où il aurait dû, à savoir au Tribunal d'Instance. Un autre monde. Autant mon cas était sérieux face aux histoires du Tribunal de Police, autant mon histoire était une broutille face aux autres affaires où des criminels étaient menottés et derrière des vitres blindées... Le patron d'un jour était là, accompagné de son avocat. J'ai dû raconter en détail les agissements du bonhomme après plus de 2 ans après les faits... Il était grand temps de pouvoir se libérer et tourner cette page. Et je me disais qu'elle conne d'avoir fait cette démarche où ça ravive les choses douleureusement et que j'étais persuadée qu'il s'en sortirait. Lorsque ce dernier a été appelé à la barre, il n'avoue pas évidemment jusqu'à un moment où il se trahit lui-même en sortant "je suis méditérannéen dons parler avec les mains, c'est normal". Et couperet ! Le Tribunal le stoppe net et le condamne à la prison avec sursis et 20 000 francs de dommages et intérêts à mon égard, et je ne sais combien à l'Etat. 
Le gars, marié, père de famille, a de plus été viré du management du restaurant. Je suis certaine qu'il n'a plus recommencé.
Un ancien employeur escroc a porté de nombreux mensonges pour me licencier. Devant les prud'hommes car refus de sa part d'une conciliation, il n'a pas pu étayer. Où les prud'hommes ont reconnu mon dévouement dans la défense des intérêts de mon employeur. Qu'en l'absence d'illustration des preuves, il a porté des documents qui prouvaient qu'un an après mon départ, les impayés avaient augmenté, le taux d'occupation chuté ainsi que le CA et la marge. Par là, il voulait en plus me faire porter le chapeau du futur ! Condamné, il a fait naturellement appel. Direction Cour d'Appel qui a confirmé le jugement des Prud'hommes. Il persite pourvoi en cassation ! Puis se rend compte de sa connerie et laisse tomber en cours de route. 
Il y a de fort risque que B agisse de la même manière. Les escrocs ne lachent pas aussi facilement puisque B me fait subir la galère depuis des années. Elle se croit protégée car elle a le soutien aveugle de S et R, qu'elle donne une image si lisse en société, à ses proches. Cette histoire va s'inscrire dans mes annales. L'indivison va disparaître petit à petit , je pense, pour céder à la SCI familiale. Gros avantage, le partage en cas de conflit se fait naturellement selon les règles du code du commerce. Mon expérience a servi au moins à faire du préventif auprès d'une famille qui en l'absence de crédit restant sur le patrimoine immobilier, les biens ont été apportés dans une SCI familiale où j'ai intégré parents et enfants en nue propriétaires et en usufruitiers. Même si les parents ont été justes avec chacun et instaure de bonnes bases dans les relations fratrie, ils anticipent au cas où les "pièces rapportés" seraient susceptibles de mettre leur grain de sel. 
J'ai prévu de changer de nom, de récupérer la nationalité coréenne qui dans mon cas permet exceptionnellement la double nationalité (nouvelle loi coréenne ! :-) ), reste à trouver la solution afin de ne plus être dérangée dans une succession future... Tant qu'il n'y a pas de mort, il n'existe pas de succession. Comment se renseigner ? J'ai peaufiné un courrier au notaire de famille  mais comment me prémunir et ne pas être recherchée dans ce genre de sale dossier. B ne pourra jamais changer radicalement. Il existe peu d'escroc repenti qui retrouve une intelligence de coeur si cette dernière n'a jamais existée ...

Connue, je l'adore

"On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux." Le petit prince par Antoine de Saint-Exupéry