26/03/2009

«La famille, une valeur refuge en période de crise»

C'est un des titres du Figaro... Je rigole bien de mon cas. Comment une pseudo famille peut vous démolir tout en conservant sa belle image d'Epinal ? Je pense qu'il existe des pseudo familles qu'il vaut mieux larguer. C'est comme le milieu de la finance, on fait croire, on se cache derrière. B me fait penser à un trader qui dissimule des magouilles auprès de S et R et de son propre avocat tout en pensant avoir gain de cause en toute impunité dont le partie pris n'est plus à contester. C'est normal pour l'avocat. B est censé le payer mais là encore, je n'en suis pas certaine. B consacre tellement de son intelligence à faire croire, à attendrir q'il n'est même pas impossible qu'elle bénéficie gracieusement sinon pourquoi elle persiste dans son silence radio ? Si elle payait réellement, la facture serait salée. La famille P, c'est dans sa catégorie comme la Société Générale ! Et j'ai un profond dégoût de cette famille P ! Aucune raison n'est valable pour être pourri à ce point. Je doute qu'une personne pauvre puisse agir de cette manière alors que nous pourrions lui trouver des "excuses"... Je me rends compte que la mansarde a été pourrie dès le début. S pouvait constater que si l'héritage de M-M avait été pensé autrement (testament modifié la veille de son décès), il n'y aurait pas eu de frais de succession dont le règlement a été bien appuyé alors que je n'ai rien demandé comme d'habitude... C'est toujours plus fort que S, elle ne peut jamais être satisfaite. Il existe toujours chez elle une sorte de frustation sur tant de choses !!! R qui n'a pas fait d'études (ce qui n'est pas systématiquement signe d'intelligence), Mamy la mère de R qui avait donné à son fils la nue propriété de biens tout en ayant conservé l'usufruit  où S ne comprenait pas pourquoi elle ne donnait pas tout !!! Pleine de petites choses qui font dire que B ne pouvait pas être autrement, que le présent ne le pouvait aussi ... Le seul regret est ne pas avoir coupé définitivement plus tôt avec S et R, S véritable mante religieuse, avoir cru lorsque S m'a demandée pardon qu'enfin ses paroles et ses actes sont enfin en harmonie. Oui, G avait raison: S ne changera jamais. Elle a besoin de posséder, d'avoir même l'illusion d'une emprise sur certaines personnes !
Lorsque j'ai envie de me battre, l'idée d'une bonne médiatisation me vient qui ferait plier les jambes de S et B. S a souffert de mes TS où toute la ville a pu se faire une idée. J'avais même reçu du soutien d'une de ses collègues P. J'ai été suivi par des psy, placée en clinique psychiatrique qui m'a encore plus démolie, droguée de médicaments dont j'ai eu beaucoup de mal à m'en sevrer. Son image touchée, S ne cessait de mettre tout sur le compte de l'adoption, du baccalauréat dont c'était le cadet de mes préoccupations... Jamais, il n'y a eu de thérapie familiale. Normal puisque les causes ne pouvaient venir de nulle part que de moi-même selon S. Car avec elle, on est blanc ou on est noir. Envisager une part de responsabilité de chacun, mission impossible. L'enfant a forcément tort, l'adulte raison. Celui qui est en apparence faible usant de plaintes est le plus faible. S a été prof, selon elle le métier le plus difficile donc toujours à se plaindre - mais désolée, je ne peux plus supporter ce genre de plaintes alors pourquoi n'avoir pas été voir ailleurs ?  et honnêtement c'était la belle vie car ce n'était pas Paris ou sa banlieue ou ces zones sensibles - alors B qui se plaignait dès qu'elle n'obtenait pas ce qu'elle espérait, moi qui gardait tout pour moi ... forcément la déduction de S était faite. Eviter de se plaindre n'est pas signe de culpabilité, d'accusé ou de force. Cela S ne l'aura jamais compris !

25/03/2009

Impossible de combattre B malhonnête !

C'est toujours silence radio tant du côté de B et de son cher avocat. Comment croire à un monde meilleur lorsque une soit-disante soeur, une soit-disante pseudo-famille agissent une telle manière. La loi du diktat de S, repris par B. C'est plutôt désespérant.
Je m'en fiche complètement du matériel sinon j'aurais réussi à jouer la parfaite hypocrite auprès de S, comme l'a toujours bien su faire B !!! Soyez faux, vous aurez tout à gagner avec S. Voilà ce genre de personne et qui osait sans cesse répéter d'avoir le courage d'être soi. Sois-le en discours mais surtout dans la réalité sois et agis comme je l'entends !
Je suis lasse de me battre pour une vérité dont les chiffres ne peuvent pas tromper. Ces derniers temps, je me suis concentrée sur ma santé. Et j'ai pris la décision de communiquer les coordonnées de B au syndic. J'ai suffisamment payé les arriérés de B qui me doit de l'argent, une arnaqueuse tout simplement sous ses beaux habits. Et ça marche tout comme dans la société. Que le bien soit saisi, c'est ce qu'il peut arriver de mieux puisque B, soit espère que je crève de mon cancer pour en hériter, soit une fois de plus je céderai. Non, ça suffit. A force de toujours tout obtenir à n'importe quel prix, j'ai décidé que B n'obtiendrait pas gain de cause. Je ne souffre pas de ses agissements ni ceux de S qui me dégoûtent. Oui, c'est le dégoût de ces personnes qui, je constate, n'ont en réalité que l'intelligence d'avoir et de paraître. Un coeur, j'en doute, qu'elles en possèdent. La souffrance est plutôt le cancer de ne pouvoir y mettre toute mon énergie face à la lutte des parasites de B et S. Pourquoi devrais-je avoir un coeur envers elle ? Non, il n'y a aucune motivation valable. Cède ou crève ? Non, je ne céderai pas et je ferai tout pour ne pas crever afin que vous n'ayez pas cette joie de dire que c'est une "grande souffrance" qu'elle a toujours porté. J'en ai certes eu de ne pas avoir connu un second foyer mais à la place une dictature. Le deuil a été fait avec la coupure. 
La difficulté est de gérer une escroc de soeur ... car le tiraillement est tout autre que si c'était une personne inconnue...

11/03/2009

Bien sûr, pour nous qui avons de l'argent, c'est facile de promettre de bien le nourrir, de la faire vivre dans de belles maisons, mais il ne s'agit pas de ça. Là, c'est de vrai amour qu'on parle.
Laetitia Hallyday