13/05/2009

Des amis formidables

Oreille tendu lorsque j'ai besoin de parler, échange ... comprenant que je peux plus considérer B comme une soeur.
J'ai pu lire chez un blogueur un texte lorsque vous voulez laisser un commentaire dont voici un extrait : "Personne (ni toi, ni moi, ni personne) n'a raison à 100% ni tort à 100%". Et c'est bien vrai dans la vie même si S, R et B pensent le contraire.
Mes amis sont ceux qui m'écoutent, jamais à la légère, ceux qui me connaissent mieux que quiconque en dehors de moi-même, ceux qui savent mon franc parler, ceux qui l'acceptent. C'est le respect mutuel et c'est bien là une des bases de nos liens forts. Ils délirent lorsqu'ils lisent les écrits passés de B, comprennent que je commence sérieusement à être désagréable car la patience j'en ai fait preuve. La bonne volonté et la recherche de clarté également ! Plus je reste correcte et patiente , plus B persiste dans son unique bon vouloir.
Maintenant, cessons l'utopie. JPC a connu un aperçu de quelques échanges depuis le démarrage de l'échange lorsque B m'a mis son avocat sur le dos. Seulement, ce dernier ne pouvait m'effrayer. J'ai gardé toutes les correspondances de B où les écrits vallent leur pesant d'or dixit les amis. Ca va finir par être étalé devant la Justice. Si B envisage de considérer JPC comme une bonne poire potentiel car je connais B, elle cache tant et tant de choses même à S et R, j'ai déjà décidé depuis un certain temps de ne plus être sa poire et sa banque. Bizarre cette manie qu'à B d'inverser les rôles !!! J'en rigole de ses accusations sans fondement. J'en ai que faire du prix de la vente, que cela soit vendu 1000 € aux enchères je n'en ai cure. Je veux simplement qu'elle soit clean sur les comptes. Je n'en serai pas arrivée à de telles exigences si elle n'avait pas porté des accusations à la légère. Bien vendre le bien, c'est surtout pour que B de perde pas trop car l'addition s'accumule avec ses erreurs de plein contrôle abusif de tout.
Comme disent mes amis dont quelques parents quadra et quinqua, cette relation des plus catastrophiques révèlent bien une partie de l'éducation de S et R.