Depuis que B m'a mis un avocat sur le dos, faute de pouvoir obtenir les documents nécessaires car à priori, pour B, j'ai juste le devoir de me taire, d'accepter son diktat, de payer et surtout aucun droit.
Le bien hérité de notre tante M-M est une chambre de bonne mansardée d'une petite surface en terme de loi carrez (-9 m²). Les charges sont donc peu élevées, de l'ordre de 138,61 € par trimestre. Après beaucoup de temps à tenter d'obtenir les copies des charges auprès de B et son avocat, sans succès, alors que j'ai été accusée de n'être pas à jour de ma quote-part de charges !!!, sans succès même d'obtenir les coordonnées du syndic ... Après avoir consacré mon énergie restante à le retrouver, j'ai eu donc la désagréable surprise (pas vraiment à vrai dire) d'un impayé de 1536,69 € que j'ai dû régulariser pour éviter les huissiers donc des frais. Le calcul est simple, soit presque plus d'un an d'impayés !!! Où j'apprends également qu'elle était une très mauvaise payeuse (pas vraiment une surprise non plus !) tout comme vis-à-vis de moi alors que c'est uniquement elle qui a déterminé la pseudo convention d'occupation ci-dessous.
Le calcul est vite fait. B retenait 23,63 € chaque mois pour ma quote-part de charges sachant qu'elle n'a jamais tenu compte que je devais en payer beaucoup moins car il existe des charges dites récupérables incombant uniquement à l'occupant. Donc la retenue d'office à la source faisait de moi une bonne payeuse. Hé oui ! Les charges trimestrielles étant de 138,61 €, cela fait 46,20 € par mois, la moitié mensuelle fait 23,10 €. Aussi je ne vois pas pourquoi elle ajoutait à 0,53 € de plus sachant que 138,61 € par trimestre en 2008 n'était certainement supérieur à 2001 car rarement les charges diminuent !!! Donc B m'escroque depuis combien de temps?
J'ai réglé la somme de 1536,69 €.
Naturellement B n'a nullement l'intention de régler quoi que ce soit. Elle estime le fait que j'ai occupé à peine une année lorsque j'étais étudiante (alors toutes les 2 à la charge de S et R) lui conférait des droits d'occupation accrus du fait également j'ai fait 4 années d'études non financées en totalité (non faute des bons résultats mais parce que j'ai refusé d'être emprisonnée et appeler S et R à date et heure fixes) et elle 2., plus un voyage en Corée (que je n'avais nullement demandé). Ce qu'il fait qu'elle a gracieusement occupé les lieux durant presque 2 ans lorsqu'elle démarrait salariée à Paris avec l'aval de S et R . Je me la suis bouclée mais aujourd'hui, je constate que j'ai eu grandement tort puisque j'en fais les frais.
Je continue à payer seule l'appel du premier trimestre : 138,61 €.
Et c'est la même somme pour le 2nd trimestre ! Et B est toujours en pleine possession abusive de la propriété. Et ce présent est le reflet total de l'éducation de S et R. B a été éduquée de cette manière tout comme moi en aînée à toujours être compréhensive et à devoir céder sinon engueulades de S. Après comment pouvais-je croire à un monde meilleur lorsque la justice, l'équité n'existaient même pas au sein d'une pseudo-famille ? A 18 ans, ravivée par les retrouvailles avec ma famille coréenne, j'ai voulu en finir avec la vie, tellement dégoûtée par la vie. Et M-M avec qui je parlais beaucoup avait tant compris de choses. En voulant m'aider indirectement, cela a entraîné un peu plus d'engrenage. Avec M-M, j'ai eu des rapports puissants. J'ai vécu avec elle beaucoup plus de complicité. Je pense souvent à elle. Cette complicité me manque, les moments d'échange, de réflexion également, les moments à observer les nuages au sommet de la Forêt Noire... Et je me demande pourquoi les gens qui essaient de faire du bien meurent si tôt : mon père, ma tante M-M...
J'ai une soeur escroc, eu des pseudo parents qui n'ont cessé d'écouter que la petite. Vive la pseudo-famille ! C'est un boulet à la place de la chaleur d'un foyer ! Lorsque l'on me faisait des crasses, j'avais envie de me flinguer. Mais j'avoue que maintenant c'est allé trop loin. J'ai une arme, je serais capable de les flinguer. B est capable continuer sans scrupules. Les personnes qui ne savent pas voir au-delà de son paraître et son discours ne me comprendront jamais. J'évite d'avoir des jugements sur les personnes car je ne suis pas en possession de tous les éléments. Lorsque je suis aussi affirmative que B, ce n'est vraiment pas exagéré. Tout peut se prouver. Et là-dessus, ma pseudo-famille n'a rien à envier.
B m'a tellement traitée de vénale, intéressée que par l'argent en ne cessant de le répéter à S et R... Que peut-on faire si les méchancetés gratuites passent mieux ainsi que les fausses accusations ? Oui, je peux regretter de n'avoir pas suivi il y a quelques années les conseils d'amis qui me disaient que B était hors la loi et que je devais défendre mes droits en prenant un avocat. Mais ce n'est pas ma nature, je ne peux pas concevoir de mettre un avocat sur le dos même d'une soeur escroc. Je peux menacer verbalement de tribunal mais incapable de le faire. Je trouve cela tellement monstrueux... mais là, je dois pourtant le faire pour un avenir, pour croire pleinement en la vie. C'est le tiraillement ! Non? je ne peux pas comprendre ces agissements !!! et ne le pourrais jamais !!! Je ne cesse de pleurer car ce n'est pas la forme, je dois me résoudre à passer à l'attaque judiciaire... Le plus dur à gérer est ce dossier , la maladie est même plus simple ... L'avocat de B a utilisé un moment la maternité. Je ne veux pas devoir étaler ma maladie devant la justice afin d'accélérer les choses. Elle est déjà malmenée par cette affaire, elle n'a pas besoin de d'autres agressions de tierces personnes.
Je pense à une réflexion de V, la fille de la marraine de B :
V est jeune mais c'est également la réaction de beaucoup d'inconnus qui réagissent de la même manière.
Ce à quoi je lui ai répondu :
Je n'ai toujours pas eu le courage de faire un courrier recommandé à son employeur afin qu'il effectue des recherches. Car B n'est plus à un mensonge près. Fin 2003, elle voulait déjà me racheter ma part. Là encore, je ne m'étais pas opposée mais avais eu le malheur d'exiger les comptes (mais quel culot j'avais de lui demander). Elle devait prendre les mesures pour le crédit... J'avais eu la nana qui suivait le dossier qui m'a dit qu'elle n'avait pas recours à un crédit !!! Mais oui, en presque 2 ans sans loyer, elle a économisé une certaine somme qu'elle a dilapider par la suite. Lors d'une conversation avec R, je le lui ai parlé de ce mensonge. Naturellement il ne m'a pas cru (sans surprise !) car B s'était faite accompagnée par R pour la demande de crédit. Et R m'a dit que ce n'était pas facile pour B car elle avait un petit salaire sans même savoir ce que je gagnais à l'époque... alors que je payais déjà de ma poche un loyer depuis 1998 en faisant des ménages, la cuisine chez des particuliers et en ayant démarré la vie active avec 2 crédits sur le dos car mon copain de l'époque m'avait raconté des balivernes. Même si j'avais fait le choix de ma liberté, il serait bon que R soit plus conscient de l'emploi de ses mots de petite soeur, petit salaire. Depuis quand l'aîné gagne systématiquement plus que les suivants. Faudrait que les employeurs songent à revoir leurs grilles et se renseignent auprès des employeurs des fratries de leurs employés afin que cette règle se vérifie correctement :-D !!!
Le bien hérité de notre tante M-M est une chambre de bonne mansardée d'une petite surface en terme de loi carrez (-9 m²). Les charges sont donc peu élevées, de l'ordre de 138,61 € par trimestre. Après beaucoup de temps à tenter d'obtenir les copies des charges auprès de B et son avocat, sans succès, alors que j'ai été accusée de n'être pas à jour de ma quote-part de charges !!!, sans succès même d'obtenir les coordonnées du syndic ... Après avoir consacré mon énergie restante à le retrouver, j'ai eu donc la désagréable surprise (pas vraiment à vrai dire) d'un impayé de 1536,69 € que j'ai dû régulariser pour éviter les huissiers donc des frais. Le calcul est simple, soit presque plus d'un an d'impayés !!! Où j'apprends également qu'elle était une très mauvaise payeuse (pas vraiment une surprise non plus !) tout comme vis-à-vis de moi alors que c'est uniquement elle qui a déterminé la pseudo convention d'occupation ci-dessous.
Le calcul est vite fait. B retenait 23,63 € chaque mois pour ma quote-part de charges sachant qu'elle n'a jamais tenu compte que je devais en payer beaucoup moins car il existe des charges dites récupérables incombant uniquement à l'occupant. Donc la retenue d'office à la source faisait de moi une bonne payeuse. Hé oui ! Les charges trimestrielles étant de 138,61 €, cela fait 46,20 € par mois, la moitié mensuelle fait 23,10 €. Aussi je ne vois pas pourquoi elle ajoutait à 0,53 € de plus sachant que 138,61 € par trimestre en 2008 n'était certainement supérieur à 2001 car rarement les charges diminuent !!! Donc B m'escroque depuis combien de temps?
J'ai réglé la somme de 1536,69 €.
Naturellement B n'a nullement l'intention de régler quoi que ce soit. Elle estime le fait que j'ai occupé à peine une année lorsque j'étais étudiante (alors toutes les 2 à la charge de S et R) lui conférait des droits d'occupation accrus du fait également j'ai fait 4 années d'études non financées en totalité (non faute des bons résultats mais parce que j'ai refusé d'être emprisonnée et appeler S et R à date et heure fixes) et elle 2., plus un voyage en Corée (que je n'avais nullement demandé). Ce qu'il fait qu'elle a gracieusement occupé les lieux durant presque 2 ans lorsqu'elle démarrait salariée à Paris avec l'aval de S et R . Je me la suis bouclée mais aujourd'hui, je constate que j'ai eu grandement tort puisque j'en fais les frais.
Je continue à payer seule l'appel du premier trimestre : 138,61 €.
Et c'est la même somme pour le 2nd trimestre ! Et B est toujours en pleine possession abusive de la propriété. Et ce présent est le reflet total de l'éducation de S et R. B a été éduquée de cette manière tout comme moi en aînée à toujours être compréhensive et à devoir céder sinon engueulades de S. Après comment pouvais-je croire à un monde meilleur lorsque la justice, l'équité n'existaient même pas au sein d'une pseudo-famille ? A 18 ans, ravivée par les retrouvailles avec ma famille coréenne, j'ai voulu en finir avec la vie, tellement dégoûtée par la vie. Et M-M avec qui je parlais beaucoup avait tant compris de choses. En voulant m'aider indirectement, cela a entraîné un peu plus d'engrenage. Avec M-M, j'ai eu des rapports puissants. J'ai vécu avec elle beaucoup plus de complicité. Je pense souvent à elle. Cette complicité me manque, les moments d'échange, de réflexion également, les moments à observer les nuages au sommet de la Forêt Noire... Et je me demande pourquoi les gens qui essaient de faire du bien meurent si tôt : mon père, ma tante M-M...
J'ai une soeur escroc, eu des pseudo parents qui n'ont cessé d'écouter que la petite. Vive la pseudo-famille ! C'est un boulet à la place de la chaleur d'un foyer ! Lorsque l'on me faisait des crasses, j'avais envie de me flinguer. Mais j'avoue que maintenant c'est allé trop loin. J'ai une arme, je serais capable de les flinguer. B est capable continuer sans scrupules. Les personnes qui ne savent pas voir au-delà de son paraître et son discours ne me comprendront jamais. J'évite d'avoir des jugements sur les personnes car je ne suis pas en possession de tous les éléments. Lorsque je suis aussi affirmative que B, ce n'est vraiment pas exagéré. Tout peut se prouver. Et là-dessus, ma pseudo-famille n'a rien à envier.
B m'a tellement traitée de vénale, intéressée que par l'argent en ne cessant de le répéter à S et R... Que peut-on faire si les méchancetés gratuites passent mieux ainsi que les fausses accusations ? Oui, je peux regretter de n'avoir pas suivi il y a quelques années les conseils d'amis qui me disaient que B était hors la loi et que je devais défendre mes droits en prenant un avocat. Mais ce n'est pas ma nature, je ne peux pas concevoir de mettre un avocat sur le dos même d'une soeur escroc. Je peux menacer verbalement de tribunal mais incapable de le faire. Je trouve cela tellement monstrueux... mais là, je dois pourtant le faire pour un avenir, pour croire pleinement en la vie. C'est le tiraillement ! Non? je ne peux pas comprendre ces agissements !!! et ne le pourrais jamais !!! Je ne cesse de pleurer car ce n'est pas la forme, je dois me résoudre à passer à l'attaque judiciaire... Le plus dur à gérer est ce dossier , la maladie est même plus simple ... L'avocat de B a utilisé un moment la maternité. Je ne veux pas devoir étaler ma maladie devant la justice afin d'accélérer les choses. Elle est déjà malmenée par cette affaire, elle n'a pas besoin de d'autres agressions de tierces personnes.
Je pense à une réflexion de V, la fille de la marraine de B :
Je connaissais un peu ta situation avec tes parents adoptifs....je peux comprendre ta réaction en vers eux, car c'est pas facile d'être adopté, même si connais pas réellement les rapports que tu as avec eux, et cela ne me regarde pas. Je sais que le froid qu'il existe entre toi et B existe depuis longtemps car j'étais encore jeune et c'est vrai que j'ai eu du mal à comprendre que cela n'aille pas entre vous car pour moi vous êtes des soeur de sang et non des demi-soeurs. D'un point de vue extérieur je trouve ça dommage que cela se passe comme ça surtout entre vous deux!!!!!
V est jeune mais c'est également la réaction de beaucoup d'inconnus qui réagissent de la même manière.
Ce à quoi je lui ai répondu :
Tu sais, la vie c'est un échange. Que l'on soit soeur de sang ou pas, cela a peu d'importance. Ce qui compte, c'est l'état d'esprit. Lorsque B était en permanence odieuse avec moi mais adorable lorsqu'elle avait besoin de moi, le résultat est là. Dans la vie, on a tous besoin de donner et de recevoir. Les relations entre fratrie, c'est aussi beaucoup les parents qui contribuent pour le futur. Lorsqu'une gamine a eu systématiquement le soutien sans faille de ses parents face à sa soeur dont la version n'était jamais écoutée, c'est normal que B soit devenue ainsi avec moi. Mais être en permanence la bonne poire qui doit tout céder, cela ne peut pas fonctionner éternellement à moins d'être maso. Je l'ai suffisamment été et trop longtemps. Crois-tu que mettre un avocat sur le dos de sa soeur avec des mensonges, c'est normal tout cela parce que je demande le droit de savoir et être informée sur l'indivision ???Tous ces documents étaient à l'unique nom de B. J'ai dû batailler pour faire rectifier en une indivision. Le syndic ayant changé le compte n'a pas pu le faire sans document, ce que je le crois aisément. Mais ancien syndic, il n'a pas vraiment envie de perdre son temps à chercher dans les archives. Le notaire qui s'est occupé de la succession - pas nickel selon l'excellent avocat immobilier qui a raison - m'avait mis la puce à l'oreille espérant que B n'avait pas émis de faux document surtout qu'elle travaille dans une étude notariale.
Sais-tu que sur le principe, il n'y a pas de problème avec l'adoption si les parents ou/et l'entourage ne mettaient pas systématiquement tous problèmes sur ce compte. S et R ne l'ont pas fait avec B mais avec moi oui sous prétexte que je me souvenais parfaitement de mon passé.
Si tu t'entends bien avec ton frère N, il y a de forte chance que vos parents y ont apporté la pierre à l'édifice.
Tout cela pour dire que si chacun met de l'intelligence de coeur (qui ne s'invente pas) dans une relation à laquelle il tient, rien n'existe ni sang ou pas de sang commun, ni adopté ou naturel, homme/femme, jeune/vieux...
Je n'ai toujours pas eu le courage de faire un courrier recommandé à son employeur afin qu'il effectue des recherches. Car B n'est plus à un mensonge près. Fin 2003, elle voulait déjà me racheter ma part. Là encore, je ne m'étais pas opposée mais avais eu le malheur d'exiger les comptes (mais quel culot j'avais de lui demander). Elle devait prendre les mesures pour le crédit... J'avais eu la nana qui suivait le dossier qui m'a dit qu'elle n'avait pas recours à un crédit !!! Mais oui, en presque 2 ans sans loyer, elle a économisé une certaine somme qu'elle a dilapider par la suite. Lors d'une conversation avec R, je le lui ai parlé de ce mensonge. Naturellement il ne m'a pas cru (sans surprise !) car B s'était faite accompagnée par R pour la demande de crédit. Et R m'a dit que ce n'était pas facile pour B car elle avait un petit salaire sans même savoir ce que je gagnais à l'époque... alors que je payais déjà de ma poche un loyer depuis 1998 en faisant des ménages, la cuisine chez des particuliers et en ayant démarré la vie active avec 2 crédits sur le dos car mon copain de l'époque m'avait raconté des balivernes. Même si j'avais fait le choix de ma liberté, il serait bon que R soit plus conscient de l'emploi de ses mots de petite soeur, petit salaire. Depuis quand l'aîné gagne systématiquement plus que les suivants. Faudrait que les employeurs songent à revoir leurs grilles et se renseignent auprès des employeurs des fratries de leurs employés afin que cette règle se vérifie correctement :-D !!!